 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 512 pages
...Icmbîable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre iniini tle canaux. Nous ne pouvions jeter les yeox sur les deux rivages , sans apercevoir des villes...campagne agréablement situées , des terres qui se couvroient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais , tks prairies pleines de troupeaux... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Cambrai, France - 1787 - 724 pages
...d'un nombre infini de canaux.. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages sans appercevoir des villes opulentes, des maisons de campagne agréablement situées, des terres qui se couvroient tous les ans d'une moisson çjorée sans se reposer jamais, des prairies pleines de troupeaux,... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Education of princes - 1790 - 462 pages
...d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages, sans appercevoir des villes opulentes , des maisons de campagne agréablement situées, des terres qui se couvroient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais , des prairies pleines de troupeaux,... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1805 - 446 pages
...arrosé, aiaterei " , ' » naux. Nous nçpouvions jetter les yeuit sur les deu» rivages sans appercevoir des villes opulentes, des maisons de campagne agréablement situées, des terres qui âe couvroient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais, tie« prairies pleines de... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1811 - 458 pages
...d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages , sans appercevoir des villes opulentes , des maisons de campagne agréablement situées , des terres qui se couvraient tous les ans d'une moisson dorée , sans se reposer jamais , des prairies pleines de troupeaux... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1821 - 486 pages
...des vilies opulentes, des maisons de campagne agréablement situées, des terres qui se cooyroient tous les ans dune moisson dorée sans se reposer jamais...des prairies pleines de troupeaux , des laboureurs qui étoient accablés sous !c poids des fruits que ïa terre épancho-k-de sen sein, des bergers qui... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 426 pages
...ctut. de campagne1 agréablement situées, des terres qui se couvraient tous les ans3 d'une moisson3 dorée sans se reposer* jamais, des prairies pleines de troupeaux, des laboureurs qui étaient accablés3 sous le poids3 des fruits que la terre épanchait7 de son sein,3 des bergers... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 426 pages
...Liv. H. de campagne1 agréablement situées, des terres qui se couvraient tous les ans3 d'une moisson3 dorée sans se reposer* jamais, des prairies pleines de troupeaux, des laboureurs qui étaient accablés3 sous le poids" des fruits, que la terre épanchait7 de son sein,3 des bergers... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 566 pages
...fertile terre d'Égypte , semblable à un jardin délicieux, arrosé d'un nombre infini de canaux. <Nous ne pouvions jeter les yeux sur les deux rivages...campagne agréablement situées, des terres qui se couvroient tous les ans d'une moisson dorée sans se reposer jamais, des prairies pleines de troupeaux... | |
 | Charles Pierre Girault-Duvivier - French language - 1822 - 706 pages
...dans un sens déterminé. En effet cette phrase tirée de Fénélon : Nous ne pouvions jeter les veux sur les deux rivages, sans apercevoir DES VILLES opulentes,...campagne agréablement situées, DES TERRES qui se couvraient tous les ans d'une moisson dorée, DES PRAIRIES pleines de troupeaux, etc., équivaut à... | |
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Memphis. Si la douleur de notre captivité ne nous eût rendus insensibles à tous les plaisirs, nos yeux auraient été charmés de voir cette fertile terre d'Egypte, semblable à un jardin délicieux arrosé d'un nombre infini de canaux. Nous ne pouvions... 
