Essai sur la propriété |
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Common terms and phrases
544 du Code absolu abstraite actuel AHRENS Anton Menger Auguste Comte Bastiat Batbie Bélime besoin bureau de vente caractère cartell choses civilisation classe Code civil collectivisme communauté commune communistiques conception concessions conséquence constitue contrat social convention critique dire doctrine doit domaine public existe Félix Le Dantec féodale Fichte fondement formes de propriété formule Fustel de Coulanges gratuit Hello historique hommes humaine industriel institutions intérêt Jean-Baptiste Say jouissance juristes juste Karl Marx l'Etat l'état de nature l'homme l'individualisme l'intérêt général l'occupation Laveleye législation légitime Léon GRÉGOIRE Leroy-Beaulieu liberté LICHTENBERGER lois Marx Menger ment naturel nécessaire objet particuliers Paul Leroy-Beaulieu philosophique physiocrates possède possession priété principe production proprié propriétaire propriété collective propriété foncière propriété individuelle propriété privée Proudhon question raison réaliser réformes régime économique régime juridique réglementation rente révolution richesse Rousseau serait services seulement siècle société Tarbouriech terre théorie théorique Thiers tion travail Troplong trust tuelle valeur Yves Guyot
Popular passages
Page 94 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 258 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 95 - Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu'elle se forme, tel qu'il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie.
Page 244 - Les propriétaires sont libres de varier à leur gré la culture et l'exploitation de leurs terres, de conserver à leur gré...
Page 181 - COMME les hommes ont renoncé à leur indépendance naturelle pour vivre sous des lois politiques, ils ont renoncé à la communauté naturelle des biens pour vivre sous des lois civiles.
Page 141 - LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile (*). Que de crimes, de guerres , de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui , arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardezvous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne...
Page 141 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 257 - Ce principe universel doit certainement s'étendre jusqu'à la propriété, où le positivisme voit surtout une indispensable fonction sociale, destinée à former et à administrer les capitaux par lesquels chaque génération prépare les travaux de la suivante.
Page 96 - Ce qu'il ya de singulier dans cette aliénation, c'est que, loin qu'en acceptant les biens des particuliers la communauté les en dépouille, elle ne fait que leur en assurer la légitime possession, changer l'usurpation en un véritable droit, et la jouissance en propriété 44. Alors le...
Page 91 - D'autres pourront aisément aller plus loin dans la même route, sans qu'il soit facile à personne d'arriver au terme; car ce n'est pas une légère entreprise de démêler ce qu'il ya d'originaire et d'artificiel dans la nature actuelle de l'homme, et de bien connaître un état qui n'existe plus, qui n'a peut-être point existé, qui probablement n'existera jamais, et dont il est pourtant nécessaire d'avoir des notions justes, pour bien juger de notre état présent.