Histoire de Pierre Terrail, seigneur de Bayart: dit le bon chevalier sans peur & sans reproche...Savigné, 1870 - 483 pages |
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Alleman Alonso archers armée armes avaient bataille Bayardus Bellabre Bon-Chevalier brave camp capitaine Bayart capitaine Louis d'Ars cents hommes d'armes Champier charge Charles VIII château cheval combat compagnie compagnons comte de Ligny coups courut dames Dauphiné Dieu dit-il donner duc de Nemours ducats duché de Milan écus ennemis envoya Espagnols eût Ferrare firent française François Ier fût garnison gens d'armes gens de pied gentilhomme gneur Gonsalve Grenoble guerre honneur jeune jour l'abbé l'armée l'empereur laissa lance lansquenets Laurencin Laurent Alleman logis Louis XII Loyal Serviteur Ludovic Ludovic Sforza Lyon maison maître Manfrone matin Maximilien ment Milan mille hommes Minervino Monseigneur de Bayart Montoison mort n'avait neveu Palice pape passer Pierre Pont Pierre Terrail Piquet prince prisonnier répondit Bayart reste RIVALLII royaume de Naples s'avança s'était s'il Savoie seigneur de Bayart serait seul Sforza sire de Vaudrey Sotomayor Suisses Tardieu tournoi Trivulzio trompette troupes trouva Vénitiens vint
Popular passages
Page 438 - moult vaillant et expérimenté , eût été vivant » et près de moi , mes affaires sans doute eus» sent mieux tourné ; j'aurais pris et cru son » conseil ; je n'aurais pas sépfeé mon armée , ni » ne serais follement sorti de mes retranche« mens ; et puis sa présence m'aurait valu cent » capitaines , tant il avait gagné de créance parmi » les miens , et de crainte parmi mes ennemis. » Ah ! je ne serais pas ici ! » Bayart haïssait mortellement l'usage des armes à feu , comme s'il...
Page 6 - hommes du temps passé , mêmement de ceux » de notre maison, je serai, s'il vous plaît, de » l'état dont vous et vos prédécesseurs ont été , » et j'espère, Dieu aidant , ne point vous y faire » déshonneur. — Mon enfant , » lui répondit Aymon, les larmes aux yeux, « Dieu t'en donne » la grâce ; tu ressembles trop de visage et de » corps à ton grand-père qui fut en son temps un » des chevaliers accomplis de la chrétienté pour » que je me refuse à tes nobles souhaits.
Page 461 - Grand-Mont , et plus de deux cens gentils hommes de nom et tous d'estime , sans plus de deux mille hommes de pied des nostres ; et vous asseure que de cent ans le royaume de France ne recouvrera la perte qu'y avons eue. Monsieur, hier matin fut amené le corps de feu Monsieur à Milan, avec deux...
Page 183 - Pense l'empereur que ce soit chose raisonnable de mettre tant de noblesse en péril et hazart avecques des piétons dont l'ung est cordoannier, l'autre...
Page 183 - L'empereur mande en sa lettre que vous fassiez mettre tous les gentilshommes français à pied pour donner l'assaut avec ses lansquenets. Mon avis est que vous, mon seigneur, devez rendre à l'empereur réponse qui sera telle : c'est que vous avez fait assembler vos capitaines qui sont très-délibérés de faire son commandement, selon la charge qu'ils ont du roi leur maître ; mais de les mêler parmi des gens de pied...
Page 377 - Chevalier eut horreur de ces dévastations, insista pour conserver la ville, disant qu'il n'y avait point de place faible là où il y avait des gens de bien pour la défendre , et il offrit de s'en charger et d'en rendre bon compte.
Page 128 - se fie plus à la vitesse de son cheval qu'au fer « de sa lance. » Et là dessus il part, il donne combat vaillamment, et meurt sur la place fort honnorablement ; et en un rien la bataille fut commencée et perdue pour nous.
Page 460 - Monsieur, si le roi a gagné la bataille, je vous jure que les pauvres gentilshommes l'ont bien perdue; car, ainsi que nous donnions la chasse, M. de Nemours vint trouver quelques gens de pie'd qui se...
Page 471 - Mon très redoubté seigneur, je prie à Dieu qu'il vous doint très bonne vie et longue. Escript à Saint-Claude2 le darrain jour d'aoust 3.
Page 10 - ... nant la grace de celluy en la garde duquel me « recommandez , en aurez contentement ; et au de« mourant, apres m'estre treshumblement recom« mandé à vostre bonne grace , je voys prendre congé « de vous. » • Alors la bonne dame tira hors de sa manche une petite boursette, en laquelle avoit seulement six escus (<) fous gverdonnera : TOUS récompensera, en or et ung en monnoye , qu'elle donna à son filz.