Histoire du droit des gens et des relations internationales, Volume 14A. Lacroix, Verboeckhoven, 1868 - Church and state |
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apologistes apôtres avaient Bergier Boissy d'Anglas Bossuet c'était catholicisme charité chose chrétiens Christ christianisme traditionnel citoyens civile clergé concile concordat conscience Convention Convention nationale crime croire croyaient croyance culte décret défenseurs déisme Dieu dire disent dit-il divine dix-huitième siècle doctrine dogme domination Écoutons Église Est-ce éternelle évêques fanatisme Galilée gallicanisme gion hérétiques hommes humain idées Idem incrédules Jésus-Christ juifs L'abbé Fauchet l'Assemblée l'édit l'esprit l'État l'Évangile l'homme l'humanité l'intolérance législateur libéralisme catholique liberté de penser liberté religieuse libre pensée libres penseurs loi naturelle lois Louis XIV ment miracles morale mystères nation nationale OEuvres orthodoxes pape paroles Pères de l'Église persécution peuple philosophes politique Portalis prêcher prêtres principes prophéties protestants qu'une raison réformés reli religion catholique religion civile religion naturelle révélation miraculeuse Révolution révolutionnaires Robespierre Rousseau s'il saint salut sauver sectes Semler sentiments serait seul société Spinoza superstition théologie théophilanthropes tion tolérance ultramontains vérité veut Voilà Volney Voltaire vrai
Popular passages
Page 197 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il falloit rendre à Dieu ce qui est à Dieu , et à César ce qui est à César...
Page 106 - Le péché originel est folie devant les hommes, mais on le donne pour tel. Vous ne me devez donc pas reprocher le défaut de raison en cette doctrine, puisque je la donne pour être sans raison.
Page 106 - Car il est sans doute qu'il n'ya rien qui choque plus notre raison que de dire que le péché du premier homme ait rendu coupables ceux qui, étant si éloignés de cette source, semblent incapables d'y participer.
Page 458 - Aucun signe particulier à un culte ne peut être placé dans un lieu public ni extérieurement, de quelque manière que ce soit. Aucune inscription ne peut désigner le lieu qui lui est affecté. Aucune proclamation ni convocation publique ne peut être faite pour y inviter les citoyens.
Page 262 - Si mes lettres sont condamnées à Rome, ce que j'y condamne est condamné dans le ciel.
Page 308 - Mais il faut faire honorer la divinité , et ne la venger jamais. En effet, si l'on se conduisait par cette dernière idée , quelle serait la fin des supplices? Si les lois des hommes ont à venger un être infini , elles se régleront sur son infinité , et non pas sur les faiblesses , sur les ignorances, sur les caprices de la nature humaine.
Page 108 - Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
Page 316 - Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères! qu'ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l'industrie paisi30 blé!
Page 309 - Nous vous conjurons, non pas par le Dieu puissant que nous servons vous et nous, mais par le Christ que vous nous dites avoir pris la condition humaine pour vous proposer des exemples que vous puissiez suivre, nous vous conjurons d'agir avec nous comme il agirait lui-même s'il était encore sur la terre. Vous voulez que nous soyons chrétiens et vous ne voulez pas T'être. « Mais si vous,, ne voulez pas être chrétiens...
Page 121 - S'il était une religion sur la terre hors de laquelle il n'y eût que peine éternelle, et qu'en quelque lieu du monde un seul mortel de bonne foi n'eût pas été frappé de son évidence, le Dieu de cette religion serait le plus inique et le plus cruel des tyrans.