Ses actes. Ses destinées1862 - France |
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actes appelle Assemblée aurait avaient avant avons c'était cause Chambre circonstances civile clergé club commençait commune conseil Contrat social corps côté coup cour déclaration décrets demander députés dernier devait dire dix-huitième siècle donner doute électeurs elle-même esprits états généraux eût faisait Fayette force forme française garde garde nationale gouvernement Histoire hommes idées jour journées juillet l'ancien l'Assemblée l'autorité l'esprit l'état l'homme l'Hôtel l'insurrection l'ordre liberté lieu Louis Louis XVI lui-même maintenant majorité manière membres ment mesure milieu ministre Mirabeau monarchie montré mouvement n'avait n'était nation nationale Necker noblesse nouveau nouvelle ordres Palais-Royal parler paroles passé pays pensée peuple philosophique place portée pouvait pouvoir premier présence prise qu'une question Rabaut Saint-Étienne raison représentants résistance reste réunis Révolution révolutionnaire rien royale royauté s'était séance semblée sentiments serait seul situation société sortir souverain suivant système tête théorie tiers tiers état tion triomphe troupes trouvait venait Versailles vote voulait voulu
Popular passages
Page 96 - Déclaration , constamment présente à tous les membres du corps social , leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du Pouvoir législatif et ceux du Pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique , en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables , tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
Page 40 - Vous venez, messieurs, d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si, par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes peuples ; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant...
Page 463 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 119 - dites-lui bien que les hordes étrangères " dont nous sommes investis ont reçu hier la visite des princes, des princesses, des favoris, des favorites, et leurs caresses, et leurs exhortations, et leurs présents.
Page 96 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 366 - Vous qui pouvez influer par tant de moyens sur la confiance publique , éclairez sur ses véritables intérêts le peuple qu'on égare, ce bon peuple qui m'est si cher , et dont on m'assure que je suis aimé quand on veut me consoler de mes peines. Ah ! s'il savait à quel point je suis malheureux à la nouvelle d'un injuste attentat contre les fortunes, ou d'un acte de violence contre les personnes , peut-être il m'épargnerait cette douloureuse amertume.
Page 35 - ... j'étais allé, pour ainsi dire, au-devant des vœux de la nation, en manifestant à l'avance ce que je voulais faire pour son bonheur.
Page 66 - Les mouvemens de votre cœur, Sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que des camps se forment autour de nous, que la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnement : le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans notre cœur ses chagrins paternels?
Page 460 - Je jure de veiller avec soin aux fidèles dont la direction m'est confiée. Je jure d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi. Je jure de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution française et notamment les décrets relatifs à la Constitution civile du clergé.
Page 389 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.