L'armée et la révolution, Dubois-Crancé (Edmond-Louis-Alexis) mousquetaire, constituant, conventionnel, général de division, ministre de la guerre, 1747-1814, Volume 1G. Charpentier et cie, 1884 - France |
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Common terms and phrases
1er avril 1er janvier 1er mai aide de camp Albitte août Archives Ardennes armée bailliage Balham Barère bataillons brigade bureau campagne capitaine cavalerie Châlons Charleville chef chevalier de Saint-Louis citoyens Claude Dubois collègues colonel comité de défense comité de Salut comité militaire commandant commissaire des guerres comte conseil Constitution Convention nationale copie conforme corps d'infanterie décembre décret défense générale Delmas département député discours division Dubois de Crancé Dubois-Crancé écuyer février finances garde nationale Germain Dubois grade HENNET j'ai Jacobins juillet juin l'armée des Alpes l'Assemblée nationale Législative liberté lieutenant-colonel Lyon Mardeuil maréchal de camp marié mars membre du comité ment mestre de camp Mézières ministre Montesquiou mort mousquetaire municipalité nation Nicolas Dubois nommé novembre octobre officiers patrie patriotes pension peuple pouvoir exécutif président principes projet publique réformé régiment République retraite Salut public séance secrétaire seigneur septembre 1792 sera seront service seul sieur Société soldats sous-lieutenant tion volontaires Wimpfen
Popular passages
Page 142 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 143 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page 466 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 88 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 441 - Rome, pour l'obtention des bulles et provisions apostoliques de ladite abbaye, et cependant pour assurance de sa volonté, le présent brevet, qu'elle a signé de sa main, et fait contresigner par moy ministre secrétaire d'Etat et de ses commandements et finances.
Page 224 - Empire [Applause in some parts of thé house and galleries]: que les pouvoirs constitués se respectent pour se rendre respectables; qu'ils se prêtent un secours mutuel au lieu de se donner des entraves, et qu'enfin on reconnaisse qu'ils sont distincts et non ennemis. Il est temps de montrer aux nations étrangères que le peuple français, ses représentants et son roi, ne font qu'un.
Page 146 - ... le reste de la monarchie. Je viens de m'adresser à l'empereur, à l'impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe, appuyé d'une force armée.
Page 223 - Les imbéciles! ils ne voient pas que s'ils font telle chose, c'est nous servir, parce qu'enfin il faudra bien, si nous commençons, que toutes les puissances s'en mêlent pour défendre les droits de chacun.
Page 239 - Les gardes nationales ont un sentiment si vif d'amour pour la liberté , une si grande ardeur pour la défendre , qu'il faut se commander pour ainsi dire d'écouter les plaintes qui ont été faites contre les désordres que quelques bataillons volontaires sont accusés d'avoir commis sur leur route et dans leurs garnisons : il faut convenir aussi que la précipitation des mesures qui les ont portés sur les frontières n'avait pas permis de prendre...
Page 221 - ... armés, mais c'est à condition que vous nous donnerez satisfaction sur telle et telle chose, et que vous ayez un gouvernement qui ait une force et une stabilité sur la foi desquelles on puisse compter. Sans cela, nous vous regarderons comme un repaire de brigands et l'écume de l'Europe. » « Ce langage en imposerait certainement et ferait pâlir les plus hardis. Il me paraît impossible que nous y fussions compromis... Reste la guerre, si elle était inévitable. L'état physique et moral...