| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
..., quand j'en prenois de semblables; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée, sans en sentir encore que la douceur. Enfin , sans que je m'en aperçusse...aperçût , elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas! ce fut bien tard, ce fut bien cruellement brûler d'une passion non... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
..., quand j'en prenois de semblables; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée, sans en sentir encore que la douceur. Enfin , sans que je m'en aperçusse...aperçût , elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas! ce fut bien tard, ce fut bien cruellement brûler d'une passion non... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...quand j'en prenois de semblables ; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée , dont je ne sentois encore que la douceur. Enfin , sans que je m'en aperçusse...aperçût, elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas! ce fut bien tard , ce fut bien cruellement brûler d'une passion... | |
| Jacques-Antoine Dulaure - Paris (France) - 1825 - 592 pages
...j'en prenais de semblables; j'avalais à longs » traits la coupe empoisonnée , dont je ne sen» tais encore que la douceur ; enfin , sans que » je m'en aperçusse, et sans qu'elle s'en aper» eût, elle m'inspira pour elle-même tout ce » qu'elle exprimait pour son amant. Hélas ! ce... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 500 pages
...quand j'en prenois de semblables ; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée, dont je ne sentois encore que la douceur. Enfin, sans que je m'en aperçusse...aperçût, elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas ! ce fut bien tard , ce fut bien cruellement brûler d'une passion... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 pages
...longs traits Ja coupe empoisonnée, dont je ne sentois encore que la douceur. Enfin, sans que je mW aperçusse et sans qu'elle s'en aperçût, elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas! ce fut bien tard, ce fut bien cruellement brûler d'une'passion non... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...quand j'en prenois de semblables ; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée, dont je ne sentois encore que la douceur. Enfin , sans que je m'en aperçusse...aperçût , elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimcit pour son amant. Hélas ! ce fut bien tard , ce fut bien cruellement brûler d'une passion... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...sentiment, quand j'en prenais de semblables; j'avalais à longi traits la coupe empoisonnée, sans en sentir encore que la douceur. Enfin, sans que je m'en aperçusse...qu'elle exprimait pour son amant. Hélas! ce fut bien lard, ce fut bien cruellement brûler d'une passion non moins vive que malheureuse pour une femme dont... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...quand j'en prenois de semblables ; j'avalois à longs traits la coupe empoisonnée, dont je ne sentois encore que la douceur. Enfin , sans que je m'en aperçusse...aperçût, elle m'inspira pour elle-même tout ce qu'elle exprimoit pour son amant. Hélas! ce fut bien tard, ce fut bien cruellement brûler d'une passion non... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pages
...ému; je croyais ne faire crue m'intéresser à ses sentiments, quand j'en prenais de semblables ; j'avalais à longs traits la coupe empoisonnée , dont je ne sentais encore que la douceur. Entin , sans que je m'en aperçusse et sans qu'elle s'en aperçût , elle m'inspira pour elle-même... | |
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