| Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 492 pages
...s'y décider. » Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu niori père , qui a assez de ma pette pour l'affliger. Si l'on y trouve mes lettres , la...les horreurs de la guerre civile , je me retirois eu Angletterre; alors mon projet étoit d« ^ Vln'àognieo'*, de trier 'Marat publiquelent", et môWant... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1836 - 1016 pages
...n'en coûte à s'y décider. Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qui a déjà bien assez de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve...lettres, la plupart sont vos portraits , s'il s'y trouvait quelque plaisanterie sur votre compte , je vous prie de me la passer ; je suivais la légèreté... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1836 - 560 pages
...n'en coûte à s'y décider. Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qui a déjà bien assez de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve mes lettres, la plupart soot vos portraits, s'il s'y trouvait que'que plaisanterie sur votre compte , je vous prie de me la... | |
| Louise Colet - 1846 - 452 pages
...n'en coûte à s'y décider. Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père, qui a déjà bien assez de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve...lettres, la plupart sont vos portraits ; s'il s'y trouvait quelques plaisanteries sur votre compte , je vous prie de me les passer : je suivais la légèrete... | |
| Émile Campardon - France - 1862 - 466 pages
...men coute à s'y décider ; je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qui a déjà bien assez de ma perte pour laffliger. Si l'on y trouve...mes lettres , la plupart sont vos portraits ; sil sy trouvait quelque plaisanteries sur votre compte, je vous prie de me la passer : je suivais la légèreté... | |
| Henri de Monteyremar - France - 1862 - 170 pages
...coûte à s'y décider. Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père, qui a déjà bien assès de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve mes lettres, la plupart sont vos portraits; s'il s'y trouvait quelques plaisanteries sur votre compte, je vous prie de me les passer : je suivais la légèreté... | |
| Émile Campardon - 1862 - 544 pages
...men coûte à s'y décider ; je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qui a déjà bien assez de ma perte pour laffliger. Si l'on y trouve mes lettres, la plupart sont vos poVtraits; sil sy trouvait quelque plaisanteries sur votre compte, je vous prie de me la passer : je... | |
| Pierre Théodore Chéron de Villiers - France - 1865 - 496 pages
...doute pas que Ion ne tourmente un peu mon père qui a déja bien assés de ma perte pour lafliger, Si l'on y trouve mes lettres, la plupart sont vos portraits, Sil si trouvait quelques plaisanteries sur votre compte je vous prie de me la passer je suivais la legereté... | |
| Émile Campardon - France - 1866 - 584 pages
...nen conte à s'y décider; je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qoi a déjà bien assez de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve...mes lettres, la plupart sont vos portraits; s'il sy trouvait quelque plaisanteries sur votre compte, je vous prie de me la passer : je suivais la légèreté... | |
| Henri Wallon - France - 1880 - 522 pages
...n'en coûte à s'y décider. Je ne doute pas que l'on ne tourmente un peu mon père qui a déjà bien assez de ma perte pour l'affliger. Si l'on y trouve...mes lettres, la plupart sont vos portraits; s'il s'y trouvait quelque plaisanterie sur votre compte, je vous prie de me la passer,je suivais la légèreté... | |
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