Revue des deux mondes, Volume 85François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1888 - France |
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Abd-el-Kader affaires âme amour Antonia Apulée assez avaient beau Berlin Bismarck budget Bulgarie c'était chambre Changarnier chose cœur coup Custine d'Apulée demande dernier Desgranges détenus devant Dieu Diosaz dire don Carlos duc d'Aumale enfans eût famille Félicien David femme finances force général Bugeaud général Changarnier gens gouvernement guerre heures homme j'ai jamais jeune fille jour l'Autriche l'émir l'état l'Europe laisser Léon Faucher lettre LXXXV main maison Mariannette Mascara Médéa ment mer Égée militaire ministre Mme Archambault monde montagnes morale Moricière Mostaganem musique n'avait n'était œuvre ouvriers paix parler passé passion pays peine pendant pensée père personne petite peuple peut-être Philippe philosophe politique porte pouvait premier président presque prince prisons Prusse qu'à qu'un regard régime Reichstag reste rien Russie s'est s'était s'il Sabran saint semble sentimens sentiment serait Serbie seul siècle socialistes soir sorte surtout Talloires tion Toron trouve venait Vivier voilà voix yeux
Popular passages
Page 862 - Les maîtres et les commettants, du dommage causé par leurs domestiques et préposés dans les fonctions auxquelles ils les ont employés; Les instituteurs et les artisans, du dommage causé par leurs élèves et apprentis pendant le temps qu'ils sont sous leur surveillance. La responsabilité ci-dessus a lieu, à moins que les père et mère, instituteurs et artisans, ne prouvent qu'ils n'ont pu empêcher le fait qui donne lieu à cette responsabilité.
Page 862 - On est responsable non-seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde. « Le père, et la mère après le décès du mari, sont responsables du dommage causé par leurs enfants mineurs habitant avec eux...
Page 486 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 504 - ... dans l'administration; cette France bigarrée, sans unité de lois et d'administration, étant plutôt une réunion de vingt royaumes qu'un seul État...
Page 884 - Voulez-vous me vendre votre terre à vie ? Je suis vieux et malade. Je sais bien que je fais un mauvais marché ; mais ce marché vous sera utile et me sera agréable. Voici quelles seraient les conditions que ma fantaisie, qui m'a toujours conduit, soumet à votre prudence.
Page 212 - Le temps passe. Tout meurt. Le marbre même s'use. Agrigente n'est plus qu'une ombre, et Syracuse Dort sous le bleu linceul de son ciel indulgent; Et seul le dur métal que l'amour fit docile Garde encore en sa fleur, aux médailles d'argent, L'immortelle beauté des vierges de Sicile.
Page 619 - Cette œuvre collective n'aurait pu être réalisée, au moins sous la forme que nous avons voulu lui donner, si, à la fin du siècle dernier et au début de ce siècle...
Page 895 - ... et si souvent étonnées de se trouver ensemble. Mais celui-ci, le plus grand coloriste qui fut jamais, le plus agréable et le plus séduisant, a sa manière propre qui n'appartient qu'à lui, qu'il a seul la magie de faire passer, quoiqu'il emploie toujours la même à tant de sujets divers, lorsqu'ils en demanderaient une autre : c'est un original unique, qui produit un grand nombre de faibles copistes.
Page 502 - Capitole, y placer avec honneur les statues des héros qui le rendirent célèbre, réveiller le peuple romain, engourdi par plusieurs siècles d'esclavage : tel sera le fruit de vos victoires...
Page 890 - C'est très-hors de propos que vous insistez sur le crédit que vous dites que j'ai dans les tribunaux. Je ne sais ce que c'est que de crédit en pareil cas, et encore moins ce que c'est que d'en faire usage. Il ne convient pas de parler ainsi : soyez assez sage à l'avenir pour ne rien dire de pareil à un magistrat.