 | Claude-François Beaulieu - France - 1801 - 570 pages
...« les esprits, je n'ai pascessédecroire qu'une « grande révolution était prête; que le roi t «par ses intentions, ses vertus et son rang .— — « suprême, devait en être le chef, puisqu'elle 17>il)' «ne pouvait pas etre avantageuse à lana« tion sans l'être également au monarque... | |
 | Antoine Antoine - 1816 - 402 pages
...divisait encore les esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque ; enfin... | |
 | Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - France - 1818 - 566 pages
...de tous les partis opposés. " Une tr grande révolution étoit prête, dit Monsieur " (Louis XVIII) à la municipalité de Paris, en " 1789; le roi, par...ses intentions, ses vertus, " et son rang suprême, devoit en être le chef." Toute la sagesse de la circonstance étoit dans ces paroles. M. Necker, dans... | |
 | DAVID WILLISON - 1818 - 572 pages
...Princes of the blood. — * Une grande révolution etoit pr-*t, dit * Monsieur (aujourd'hui Louis XVIII.) à la municipalité de ' Paris, en 1789; le roi, par...ses intentions, ses vertus, et son * rang suprême, cferait en être le chef ! ' We perfectly agree with Mad. de S. — ' que toute la sagesse de la circonstance... | |
 | Civique de Gastine - 1818 - 830 pages
...divisait les esprits , je n'ai pas cessé n de croire qu'une grande révolution était prête ; que le 11 Roi , par ses intentions , ses vertus et son rang suprême, * devait en être le chef n. (Discours de Monsieur , frère du Roi , maintenant Louis XYIH, le 26 décembre 1789.) Je suppose... | |
 | Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - France - 1818 - 460 pages
...tous les partis opposés. « Une » grande révolution étoit prête , dit Monsieur » ( Louis XVIII ) à la municipalité de Paris , » en 1789; le roi, par ses intentions, sesver» tus et son rang suprême, devoit en être le » chef. » Toute la sagesse de la circonstance... | |
 | Anne-Louise-Germaine Necker de Staël-Holstein (baronne) - 1820 - 348 pages
...xvm ) à la municipalité de 3) P^ris, en i789; le roi, par ses intentions, ses veri) tus et son rjng suprême, devait en être le chef. » Toute la sagesse...paroles. M. Necker, dans le rapport joint au résultat dn consoil du 27 décembre , indiqua , au nom du roi , que le monarque accorderait la suppression des... | |
 | abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - France - 1820 - 864 pages
...f. 12 décembre 1788), je n'ai pas cessé de croire qu'une grande « révolution était prête; que le roi, par ses intentions, ses vertus et « son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait « être avantageuse à la nation sans l'être également au monarque ; "- enfin... | |
 | Adolphe Thiers, Félix Bodin - 1823 - 454 pages
...qui divisait les esprits , je n'ai cessé de » croire qu'une grande révolution était prête ; que le » roi , par ses intentions , ses vertus et son rang » suprême , devait en être le chef, puisqu'elle ne pou» vait être avantageuse à la nation sans l'être également » au monarque; enfin,... | |
 | Cronologia - 1823 - 904 pages
...la décembre 1788 ), je « n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête; que « le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait « en être le chef, puisqu'elle ne pouvait être avantageuse à la nation «. sans l'être également au monarque ; enfin... | |
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Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin, que l'autorité royale devait être le rempart de la liberté nationale,... 
