Histoire de la restauration et des causes qui ont amené la chute de la branche ainée des Bourbons, Volume 6 |
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affaires attaqué avaient Barthélemy c'était candidats Carlsbad cazes censure cent-jours centre gauche cham chambre des députés chambre des pairs charte chelieu Clausel Clausel de Coussergues commission comte d'Artois concessions Constitutionnel d'élection Decazes demander démission départemens devait dévouement discussion doctrinaires duc de Berry duc de Richelieu élec esprits fallait fraction garde nationale général gouvernement Grégoire hommes indépendans journaux l'esprit l'Europe l'extrême gauche l'opinion l'opposition l'ordonnance Lainé libéral liberté liste loi des élections loi électorale lois d'exception Louis XVIII maison de Bourbon Majesté majorat majorité maréchal ment mesures Metternich ministérielle modération monarchie n'avait n'était naux nistres opinions opposition Pasquier pensée pétitions politique popularité Portal position pouvait pouvoir préfets présenté président du conseil presse principes projet de loi proposition publique régicide rent répression restauration résultat révolution royalistes s'était secret sentiment serait Serres session seulement sion situation système électoral Ternaux tion tribune ultràs vait Villèle voix vote voulait
Popular passages
Page 314 - Tout individu prévenu de complots • ou de machinations contre la personne du roi, la sûreté de l'état et • les personnes de la famille royale, pourra, sans qu'il y ait nécessité » de le traduire devant les tribunaux, être arrêté et détenu en vertu • d'un ordre signé du président du conseil des ministres et du mini
Page 155 - ... l'emploi indifférent de cette mesure contre tous les prévenus ou. sa prolongation sont tellement contraires à la bonne administration de la justice et aux droits de l'humanité que les juges d'instruction n'en sauraient user avec trop de réserve ; ils ne doivent l'ordonner que...
Page 348 - Faisons , messieurs , que le profit d'une mort sublime ne soit pas perdu pour la maison royale et pour la morale publique! Que la postérité ne puisse pas nous reprocher qu'aux funérailles d'un Bourbon la liberté des citoyens fut immolée pour servir d'hécatombe ! La raison d'état le défend , l'honneur français s'en irrite , la justice en frémit!
Page 308 - Français, regretté surtout par les amis de la liberté (Vive sensation à gauche.) parce que les amis de la liberté savent bien qu'on se prévaudra de cet affreux attentat pour chercher à détruire les libertés qui nous ont été données, et les droits que la sagesse du monarque a reconnus et consacrés.
Page 25 - ... derniers jours du même, mois, plusieurs symptômes, dont il était impossible de se dissimuler l'importance, avertirent le gouvernement français que malgré l'étendue des ressources que les banquiers, chargés de...
Page 58 - ... conditions. L'état où j'ai mis le roi hier et le désespoir qu'il m'a causé ont pu seuls me décider à les déposer dans son sein. Votre Majesté en fera l'usage qu'elle jugera convenable. » Dans le cas où Votre Majesté exigerait impérieusement que je restasse, j'oserais la supplier d'employer tous les moyens qui sont en son pouvoir pour retenir M. Lainé , sans lequel je ne puis absolument rester au ministère, et M. Roy; si vous voulez bien y mettre cette séduction à laquelle rien...
Page 173 - L'extrême générosité du roi avait pu défendre les votans ; mais, la loi rendue, on a dû reconnaître qu'il était impossible , sans violer le sentiment moral le plus puissant , sans porter atteinte à la dignité royale, aux yeux de la France et de l'Europe...
Page 212 - ... dans le même respect à professer les principes, dans les mêmes mesures vigoureuses pour les défendre. Ce n'est pas pour eux, c'est pour les peuples; ce n'est pas par amour du pouvoir; c'est par attachement pour la liberté, qu'ils doivent tout employer pour maintenir leur autorité tutélaire.
Page 156 - ... l'information est complète. Attachezvous à imprimer fortement cette vérité aux magistrats instructeurs, que la célérité dans les informations est pour eux un devoir impérieux, et qu'ils se chargent d'une grande responsabilité lorsque, sans une nécessité évidente, ils les prolongent au delà du temps suffisant pour faire régler la compétence et statuer sur la prévention en connaissance de cause.
Page 68 - Ce fut avec le plus sincère regret que j'acceptai sa démission. Sa lettre fut pour moi un trait de lumière en ce qu'elle m'avait fait voir la possibilité de me passer du prince de Talleyrand ; mais mon embarras n'était pas moindre : ni l'un ni l'autre des maréchaux dont me parlait le duc de Richelieu n'était, à mon avis, dans le cas de le remplacer. M. Pasquier vint chez moi comme je venais d'expédier ma réponse au duc de Richelieu ; je m'ouvris à lui et le priai d'aller conférer chez...