Histoire parlementaire de la Révolution française: ou Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 14Paulin, 1835 - France |
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Popular passages
Page 90 - L'Assemblée nationale constituante en remet le dépôt à la fidélité du corps législatif, du roi et des juges, à la vigilance des pères de famille, aux épouses et aux mères, à l'affection des jeunes citoyens, au courage de tous les Français.
Page 55 - Le peuple français, libre de fixer la forme de sa constitution , n'a pu blesser , en usant de ce pouvoir, ni la sûreté, ni l'honneur des couronnes étrangères. Les chefs des autres pays mettraient-ils donc au nombre de leurs prérogatives, le droit d'obliger la nation française à donner au chef de son gouvernement un pouvoir égal à celui qu'eux-mêmes exercent dans leurs États?
Page 61 - ... n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes , et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple , ne prend les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance ; que la guerre qu'elle est obligée de soutenir n'est point uneguerre de nation à nation , mais la juste défense d'un peuple libre contre l'injuste agression d'un roi...
Page 53 - Forcée de consentir à la guerre par la plus impérieuse nécessité, l'Assemblée nationale n'ignore pas qu'on l'accusera de l'avoir volontairement accélérée ou provoquée. » Elle sait que la marche insidieuse de la cour de Vienne n'a eu d'autre objet que de donner une ombre de vraisemblance à cette imputation , dont les puissances étrangères ont besoin pour cacher à leurs peuples les motifs réels de l'attaque injuste préparée contre la France...
Page 118 - Rentrèrent aux murs de Paris , Vainqueurs du fanatisme et de la calomnie^, Prosternés devant ses écrits. Un seul jour peut atteindre à tant de renommée , Et ce beau jour luira bientôt ! C'est quand tu conduiras Jourdan à notre armée Et Lafayette à l'échafaud.
Page 426 - La religion du législateur, c'est le culte de l'humanité; ses bonnes œuvres, ce sont de bonnes lois ; son paradis, c'est sa patrie, s'il la rend heureuse ; il est sûr de faire son salut, s'il sauve l'État.
Page 36 - La guerre ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du roi , et sanctionné par lui.
Page 6 - Les membres de l'Assemblée nationale actuelle et des législatures suivantes , les membres du tribunal de cassation et ceux qui serviront dans le...
Page 159 - J'aurai l'orgueil encore de préférer à leurs frivoles applaudissements le suffrage de ma conscience et l'estime de tous les hommes vertueux et éclairés; appuyé sur elle et sur la vérité, j'attendrai le secours tardif du temps, qui doit venger l'humanité trahie et les peuples opprimés. Voilà mon apologie; c'est vous dire assez, sans doute, que je n'en avais pas besoin.
Page 61 - ... d'autre à l'état de paix les troupes sur les frontières , il a continué et augmenté des préparatifs hostiles; » Qu'il a formellement attenté à la souveraineté de la nation française en déclarant vouloir soutenir les prétentions des princes allemands possessionnés en France, auxquels la nation française n'a cessé d'offrir des indemnités ;