Revue des cours et conférencesBoivin., 1902 - Education |
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Popular passages
Page 432 - Is not a patron, my lord, one who looks with unconcern on a man struggling for life in the water, and when he has reached ground encumbers him with help? The notice which you have been pleased to take of my labours, had it been early, had been kind; but it has been delayed till I am indifferent, and cannot enjoy it; till I am solitary, and •cannot impart it; till I am known, and do not want it.
Page 184 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 432 - Seven years, my Lord, have now passed since I waited in your outward rooms, or was repulsed from your door ; during which time I have been pushing on my work through difficulties, of which it is useless to complain, and have brought it at last to the verge of publication, without one act of assistance, one word of encouragement, or one smile of favour. Such treatment I did not expect, for I never had a patron before.
Page 184 - Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trouver cette antiquité que nous révérons dans les autres.
Page 431 - Dictionary is recommended to the public were written by your Lordship. To be so distinguished is an honour which, being very little accustomed to favours from the great, I know not well how to receive, or in what terms to acknowledge.
Page 432 - ... it has been delayed till I am indifferent, and cannot enjoy it ; till I am solitary, and cannot impart it ; till I am known, and do not want it. I hope it is no very cynical asperity not to confess obligations where no benefit has been received, or to be unwilling that the public should consider me as owing that to a patron, which Providence has enabled me to do for myself.
Page 433 - Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu cette vesprée Les plis de sa robe pourprée Et son teint au vôtre pareil.
Page 151 - Souvent, las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie, Las du mépris des sots qui suit la pauvreté, Je regarde la tombe, asile souhaité; Je souris à la mort volontaire et prochaine; Je me prie, en pleurant, d'oser rompre ma chaîne; Le fer libérateur qui percerait mon sein Déjà frappe mes yeux et frémit sous ma main...
Page 392 - Du jour où le christianisme a dit à l'homme : « Tu es double, tu es composé de deux êtres, l'un périssable, l'autre immortel, l'un charnel, l'autre éthéré, l'un enchaîné par les appétits, les besoins et les passions, l'autre emporté sur les ailes de l'enthousiasme et de la rêverie, celui-ci enfin toujours courbé vers la terre, sa mère, celui-là sans cesse élancé vers le ciel, sa patrie ; » de ce jour le drame a été créé.
Page 749 - Je ne souhaite encore point mourir. Mais, quand mes yeux je sentirai tarir, Ma voix .cassée, et ma main impuissante, Et mon esprit en ce mortel séjour Ne pouvant plus montrer signe d'amante, Prierai la mort noircir mon plus clair jour.