Revue de ParisLouis Désiré Véron Bureau de la Revue de Paris., 1839 - French literature |
Other editions - View all
Common terms and phrases
acte affaires Amburgh Ana Muller anglais Arioste arrive assez avaient avez Balzac beau Beaumont Blanche de Bretagne Burke c'était cabinet Calderon capitaine chambre chants cheval chose cœur comté d'Artois comte Robert comtesse Constantinople Coraly coup damoiselle de Divion David Davys demander devant Dieu dire donner doute Dufaure Égypte enfans esprit eût femme Florita gouvernement grace heures homme j'ai j'avais jamais Jeanne de Divion jeter jeune fille jour journal l'ame l'Angleterre l'Égypte laisser Léonore lettres livre long-temps lord Byron Lucien Mahaut main maître malheureux maréchal Soult matelots Méhémet-Ali Mélitène ment ministère monde monsieur John n'avait n'était nuit parler paroles passer Paul de Kock pauvre pensée père personne Philippe d'Artois Pierre de Broyes poésie poète politique porte premier qu'un raison regard reste rien Robert d'Artois s'était saint satire scène seigneur semble sentiment serait seul soir sorte Stanbow Syrie talent théâtre tion trouve vaisseau venait Viergeotte voix yeux
Popular passages
Page 276 - Si parmi les membres qui ont voté * la mort du maréchal Ney, et qui siègent dans « cette enceinte, il en est un qui se trouve blessé « de mes paroles, qu'il fasse une proposition « contre moi, qu'il me dénonce à cette barre, j'y « comparaîtrai ; je serai fier d'être le premier « homme de la génération de 1830 qui viendra « protester ici, au nom de la France indignée, « contre cet abominable assassinat.
Page 251 - L'une s'épanouit aux doux feux de l'aurore ; Des flammes du midi cette autre se colore, Et, fière d'étaler son calice vermeil, S'ouvre amoureusement aux rayons du soleil; D'autres, aux bois touffus, au sein des forêts sombres, Dont les épais rameaux rembrunissent les ombres, Aiment à confier leurs modestes attraits.
Page 227 - Se lève enfin, et seul où le rayon l'appelle, Se traîne : il voit le ciel, l'éclat oriental, Les gazons rafraîchis et d'un vert plus égal, Les coteaux mi-voilés dans leur pente plus belle ; Quelque blancheur de nue argente l'horizon ; Tout près distinctement, il écoute au buisson Ou suit nonchalamment les bruits de la fontaine ; Et son front se ressuie et son âme est sereine.
Page 195 - prenez vostre violon, et sonnez moy tousjours jusques a ce que me voyez morte (car je m'y en vais) la défaite des Suisses, et le mieux que vous pourrez, et quand vous serez sur le mot,
Page 145 - Vous m'avez rendu un triste service ; il y avait déjà bien longtemps que j'avais renoncé à l'amusant charlatanisme des Scènes de la Vie privée et des Scènes de la Vie de province. Cette phraséologie pénible, à laquelle s'est habitué l'auteur, ne peut pas convenir longtemps à un lecteur qui recherche, avant tout, les belles pages bien écrites et qui place en seconde ligne l'intérêt et l'émotion. Vous savez qu'on fait à Genève des boîtes à musique qui sont très-recherchées des...
Page 163 - Vernou, son digne rédacteur, méchant comme une maladie secrète. Ces messieurs viennent de décider que l'on poussera Paul de Kock; c'est, je crois, la troisième fois qu'il est parlé dans ce livre de M. Paul de Kock, et avec assez peu de révérence. Cela est peu charitable de la part de M. de Balzac. Je ne veux pas ici faire de comparaison, mais parmi les gens qui aiment beaucoup les romans, M. Paul de Kock est très en faveur, on le lit avec autant de fureur que toutes les histoires de la vie...
Page 228 - Mais qu'est-ce si déjà, sous la même couronne De ces bois alors verts, et sur ces mêmes bancs, On eut , soir et matin, la douceur des printemps Auprès d'un cœur ami de qui l'absence étonne? Reviens donc, ô Printemps! renais, feuillage aimé! Mois des zéphyrs , accours ! chante , chanson de mai : Mais triste...
Page 189 - J'ai connu l'épouse d'un colonel de cavalerie , que son mari magnétisait, et qui devint somnambule ; dans le cours du traitement, une indisposition le contraignit à se faire aider par un officier de son régiment ; cela ne dura que huit à dix jours. Quelque temps après , dans une séance magnétique, le mari , ayant mis sa femme en somnambulisme...
Page 253 - ... sont les seuls rêves, les seules occupations de ces femmes: les joies intellectuelles leur sont inconnues. Il est rare, très-rare, de voir une femme turque sachant lire et écrire. Une chose plus déplorable encore, c'est l'absence presque totale du sentiment religieux chez les femmes du harem. Les principes de religion, si profondément enracinés dans l'esprit et le cœur des Turcs, sont à peine connus de leurs femmes. La loi les dispense, d'ailleurs, de pratiquer les actes religieux; ce...
Page 240 - ... de disparaître à l'horizon lointain ; un léger souffle de vent du nord répandait une agréable fraîcheur dans l'atmosphère , une heure auparavant si brûlante. Le long silence du désert n'était interrompu que par les cris des Barazis rappelant les chameaux auprès de leurs tentes. Nous fîmes une halte sur le bord du chemin, à côté d'un puits, pour jouir de cette délicieuse et poétique soirée. Au moment où nous descendions de cheval, trois femmes , d'une tribu de Barazis , portant...