Revue canadienne, Volume 14Alphonse Leclaire Revue canadienne, 1877 - Canada |
Contents
| 192 | |
| 206 | |
| 219 | |
| 227 | |
| 235 | |
| 241 | |
| 251 | |
| 264 | |
| 593 | |
| 602 | |
| 610 | |
| 616 | |
| 628 | |
| 635 | |
| 641 | |
| 650 | |
| 271 | |
| 282 | |
| 296 | |
| 310 | |
| 317 | |
| 337 | |
| 347 | |
| 359 | |
| 369 | |
| 380 | |
| 390 | |
| 397 | |
| 407 | |
| 415 | |
| 426 | |
| 440 | |
| 449 | |
| 464 | |
| 475 | |
| 481 | |
| 491 | |
| 503 | |
| 520 | |
| 530 | |
| 546 | |
| 556 | |
| 580 | |
| 659 | |
| 668 | |
| 683 | |
| 710 | |
| 717 | |
| 738 | |
| 744 | |
| 752 | |
| 760 | |
| 776 | |
| 786 | |
| 796 | |
| 801 | |
| 813 | |
| 823 | |
| 834 | |
| 844 | |
| 851 | |
| 858 | |
| 871 | |
| 881 | |
| 891 | |
| 899 | |
| 911 | |
| 930 | |
| 950 | |
| 957 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Algonquins âme arrive avaient Baugy c'était Canada Canadiens cap Bathurst catholique cause Chambre chose chrétiens Christ Christianisme ciel civile civilisation cœur colonie côté dernier devant Dieu dire divine doctrine donner Emile Ollivier Esquimau femme force froid glace gouvernement guerre heures hommes humaine Iroquois jamais Jasper Hobson Jésus-Christ jour Kalumah l'Eglise l'Etat l'histoire l'homme l'île l'ordre laisser libéraux liberté lieutenant Hobson littoral Louis Philippe Mac Nap madame Madge main malheureux ment mille ministre Missouri monde Montcalm Montréal morale Mornac mort n'était nature Normanville Nouvelle-France nuit Pape parler paroles passé Paulina Barnett pays PAYS DES FOURRURES pendant pensée Père personne peuple Pie IX politique porte pouvait pouvoir premier président principes qu'un quæ Québec question raison religieux religion répondit Jasper Hobson République reste Révolution rien Russie s'était saint sauvages science semble sentiment serait sergent Long seul siècle social société soldats sorte terre Thiers Thomas Black tion Trois-Rivières trouve vérité voix vrai
Popular passages
Page 804 - ... de troupeaux d'hommes mutilés, qu'on envoie mourir au fond des mines ou dans les travaux publics. Les fouets, les chevalets, les ongles de fer, la croix, les bêtes féroces, déchirent les tendres enfants avec leurs mères ; ici l'on suspend par...
Page 434 - Laissez croître l'un et l'autre jusqu'à la moisson; et au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez...
Page 695 - Le discours de la couronne a dit que l'on espérait la paix ; il n'a pas dit assez : on est certain de la paix. En effet, pourquoi le cabinet du 29 octobre at-il remplacé le cabinet du 1er mars? Parce que le cabinet du 1er mars n'a pu obtenir des mesures qu'il jugeait nécessaires, et qui pouvaient amener une guerre non pas certaine, mais éventuelle : le cabinet du 29 octobre, au contraire, veut la paix certaine, et il est sûr de l'avoir.
Page 105 - L'armée et trop petite armée du roi vient de battre ses ennemis. Quelle journée pour la France ! Si j'avais eu deux cents sauvages pour servir de tête à un détachement de mille hommes d'élite, dont j'aurais confié le commandement au chevalier de Lévis, il n'en serait pas échappé beaucoup dans leur fuite. Ah ! quelles troupes, mon cher Doreil, que les nôtres ! Je n'en ai jamais vu de pareilles...
Page 601 - Sans cesse on allait du palais de Valentinien à la basilique d'Ambroise. Celui-ci répondait au tribun de l'empereur : « Si vous voulez ce qui est à moi , des...
Page 98 - Montcalm, dans un rapport au ministre, du 18 septembre, résume ainsi la situation : « Manque de vivres ; le peuple réduit à un quarteron de pain. Il faudra peut-être encore réduire la ration du soldat. Peu de poudre, pas de souliers. » Les efforts de Machault avaient produit, en France, tous leurs effets, mais on n'avait plus les éléments pour recruter de bons matelots. La prévoyance infernale de l'ennemi qui avait fait prisonniers nos matelots de commerce, avait creusé un vide qu'on no...
Page 140 - De réunir, dans une pensée et dans une action communes, tous les hommes d'intelligence et de cœur, qui, ne séparant pas les intérêts de la religion des intérêts de la science, veulent s'opposer aux progrès de l'erreur et travailler à la diffusion des saines doctrines.
Page 916 - On croit assez généralement que M. Féli est un homme d'orgueil et d'un orgueil fougueux. Cette opinion, qui a détourné de lui bien des catholiques, est incroyablement fausse. Pas d'homme au monde plus enfoncé dans l'humilité et le renoncement à soimême. S'il en était autrement, il ne comprendrait pas le christianisme, qui se résume tout entier dans l'humilité ; et certes il le comprend au delà de toute expression.
Page 36 - trois grands beaux bals jusqu'au carême : « outre les dîners, de grands soupers de dames « trois fois la semaine : les jours des prudes, «des concerts; les jours des jeunes, des
Page 916 - Impossible d'imaginer, à moins de l'avoir entendu, le charme de ces causeries où il se laisse aller à tout l'entraînement de son imagination : philosophie, politique, voyages, anecdotes, historiettes, plaisanteries, malices, tout cela sort de sa bouche sous les formes les plus originales, les plus vives, les plus saillantes, les plus incisives, avec les rapprochements les plus neufs, les plus profonds ; quelquefois .avec des paraboles admirables de sens et de poésie, car il est grandement poète.