Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la constitution française du 14 Janvier 1852, Volume 1 |
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... terre désolée . Les uns proscrivent la propriété individuelle ; les autres rejettent la famille et proclament la liberté des amours ; une troisième secte , renchérissant sur les deux autres , enveloppe la famille et la propriété dans un ...
... terre désolée . Les uns proscrivent la propriété individuelle ; les autres rejettent la famille et proclament la liberté des amours ; une troisième secte , renchérissant sur les deux autres , enveloppe la famille et la propriété dans un ...
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... terre . Or , la meilleure partie du produit de leurs tra- vaux était remise aux magistrats , et ceux - ci en faisaient deux parts , l'une pour le culte des dieux et les dépenses de l'admi- nistration , l'autre pour les repas publics des ...
... terre . Or , la meilleure partie du produit de leurs tra- vaux était remise aux magistrats , et ceux - ci en faisaient deux parts , l'une pour le culte des dieux et les dépenses de l'admi- nistration , l'autre pour les repas publics des ...
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... terre en trente - neuf mille parts , dont neuf mille pour les habitants de la ville et trente mille pour ceux de la campagne . Chaque citoyen âgé de trente ans , élevé selon les lois du pays et marié , devait être mis en pos- session d ...
... terre en trente - neuf mille parts , dont neuf mille pour les habitants de la ville et trente mille pour ceux de la campagne . Chaque citoyen âgé de trente ans , élevé selon les lois du pays et marié , devait être mis en pos- session d ...
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... terre qui fit mou- rir 20,000 Spartiates , il voit dans la catastrophe la vengeance des Dieux , irrités par les traitements barbares qu'on faisait supporter aux Ilotes ( Ælian . VI , 7 ) ? C'est en vain qu'on explique la célèbre Kpura à ...
... terre qui fit mou- rir 20,000 Spartiates , il voit dans la catastrophe la vengeance des Dieux , irrités par les traitements barbares qu'on faisait supporter aux Ilotes ( Ælian . VI , 7 ) ? C'est en vain qu'on explique la célèbre Kpura à ...
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... terre , dit M. Troplong , y ajoute son travail , » c'est - à - dire une valeur aussi variable que la force , l'a- » dresse et la santé . D'autres fois aussi , il la laisse dété- > riorer par la mauvaise administration , tandis qu'un au ...
... terre , dit M. Troplong , y ajoute son travail , » c'est - à - dire une valeur aussi variable que la force , l'a- » dresse et la santé . D'autres fois aussi , il la laisse dété- > riorer par la mauvaise administration , tandis qu'un au ...
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Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bles Bloemardine bonheur Cabet Campanella Carpocrate catholique choses chrétiens christianisme Cité du soleil citoyens civile classes Clément d'Alexandrie Code communauté communisme conseils évangéliques conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disciples dit-il doctrine domaine également enfants Esséniens famille femmes Fourier frères galité gnosticisme gouvernement Grèce guerre Hernhuters Hist hommes humaine Ibid idées institutions Jean de Leyde Jésus-Christ l'anabaptisme l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'Utopie législation liberté livre lois liciniennes Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment Minos misère modernes morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature Nicolaïtes paroles pauvres Pelletan peuple philosophe Platon Plutarque politique population préceptes prêcher prédications priété principes propriété individuelle Pythagore réformateurs religieux république révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint sectaires secte sénat sera seul siècle société Solariens sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre tion trad travail trouve Villegardelle
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 306 - Le but de la société est le bonheur commun. — Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 256 - ... un animal moins fort que les uns , moins agile que les autres , mais , à tout prendre , organisé le plus avantageusement de tous : je le vois se rassasiant sous un chêne , se désaltérant au premier ruisseau , trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 260 - Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable; car, sitôt que c'est la force qui fait le droit, l'effet change avec la cause: toute force qui surmonte la première succède à son droit.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 358 - L'instant est venu de fonder la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX, ce grand hospice ouvert à tous les hommes. Les jours de la restitution générale sont arrivés. Familles gémissantes, venez vous asseoir à la table commune dressée par la nature pour tous ses enfants.
Page 84 - Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; * tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.