Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la constitution française du 14 Janvier 1852, Volume 1 |
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... richesses créées par le génie de l'homme ? Comment , pour nous servir du langage sociétaire , faire participer l'Espèce aux jouissances du capital naturel et du capital créé ? ( 1 ) Guizot , De la Démocratie en Europe , chap . IV . Ici ...
... richesses créées par le génie de l'homme ? Comment , pour nous servir du langage sociétaire , faire participer l'Espèce aux jouissances du capital naturel et du capital créé ? ( 1 ) Guizot , De la Démocratie en Europe , chap . IV . Ici ...
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... richesses et de la liberté pleine de délices que de prétendus amis lui annoncent ; en un mot , qu'on éclaire son esprit et qu'on parle à son cœur : là est le seul remède efficace . Il faut opposer une propagande d'ordre , de religion ...
... richesses et de la liberté pleine de délices que de prétendus amis lui annoncent ; en un mot , qu'on éclaire son esprit et qu'on parle à son cœur : là est le seul remède efficace . Il faut opposer une propagande d'ordre , de religion ...
Page 20
... richesses . La génération suivante augmentait le pécule de la famille , les métaux précieux s'accumulaient dans l'ombre ( 1 ) . Bientôt , par la pente naturelle des cho- ses , des alliances se conclurent entre les détenteurs des trésors ...
... richesses . La génération suivante augmentait le pécule de la famille , les métaux précieux s'accumulaient dans l'ombre ( 1 ) . Bientôt , par la pente naturelle des cho- ses , des alliances se conclurent entre les détenteurs des trésors ...
Page 38
... richesses se trou- vaient concentrées aux mains d'un petit nombre de citoyens ; et lorsque le roi Agis essaya de réformer les abus , on comptait à peine cent Spartiates vivant dans l'aisance ( 4 ) ! Et cepen- ( 1 ) Ils confiaient leur ...
... richesses se trou- vaient concentrées aux mains d'un petit nombre de citoyens ; et lorsque le roi Agis essaya de réformer les abus , on comptait à peine cent Spartiates vivant dans l'aisance ( 4 ) ! Et cepen- ( 1 ) Ils confiaient leur ...
Page 47
... richesses ne les pousse à empiéter sur les droits de leurs concitoyens ( 1 ) . Dans l'ordre moral , la cité platonique offre un spectacle plus curieux encore . Le mariage y a perdu tout caractère de sainteté et de morale ; ce n'est plus ...
... richesses ne les pousse à empiéter sur les droits de leurs concitoyens ( 1 ) . Dans l'ordre moral , la cité platonique offre un spectacle plus curieux encore . Le mariage y a perdu tout caractère de sainteté et de morale ; ce n'est plus ...
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Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bles Bloemardine bonheur Cabet Campanella Carpocrate catholique choses chrétiens christianisme Cité du soleil citoyens civile classes Clément d'Alexandrie Code communauté communisme conseils évangéliques conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disciples dit-il doctrine domaine également enfants Esséniens famille femmes Fourier frères galité gnosticisme gouvernement Grèce guerre Hernhuters Hist hommes humaine Ibid idées institutions Jean de Leyde Jésus-Christ l'anabaptisme l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'Utopie législation liberté livre lois liciniennes Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment Minos misère modernes morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature Nicolaïtes paroles pauvres Pelletan peuple philosophe Platon Plutarque politique population préceptes prêcher prédications priété principes propriété individuelle Pythagore réformateurs religieux république révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint sectaires secte sénat sera seul siècle société Solariens sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre tion trad travail trouve Villegardelle
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 306 - Le but de la société est le bonheur commun. — Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 256 - ... un animal moins fort que les uns , moins agile que les autres , mais , à tout prendre , organisé le plus avantageusement de tous : je le vois se rassasiant sous un chêne , se désaltérant au premier ruisseau , trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 260 - Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable; car, sitôt que c'est la force qui fait le droit, l'effet change avec la cause: toute force qui surmonte la première succède à son droit.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 358 - L'instant est venu de fonder la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX, ce grand hospice ouvert à tous les hommes. Les jours de la restitution générale sont arrivés. Familles gémissantes, venez vous asseoir à la table commune dressée par la nature pour tous ses enfants.
Page 84 - Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; * tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.