Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la constitution française du 14 Janvier 1852, Volume 1 |
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... riche du patrimoine de ses pères , quelque étendu qu'il fût . Jamais la chimère de la communauté n'a reçu l'encens des démocrates romains . Si des lois agraires ont été proposées et votées , si des partages de biens - fonds ont été ...
... riche du patrimoine de ses pères , quelque étendu qu'il fût . Jamais la chimère de la communauté n'a reçu l'encens des démocrates romains . Si des lois agraires ont été proposées et votées , si des partages de biens - fonds ont été ...
Page 62
... riche , les patriciens s'en emparèrent . Il est vrai que les droits de l'État furent ex- pressément réservés ; l'ager publicus fut même déclaré ina- liénable et imprescriptible , et les occupants se soumirent à une redevance annuelle ...
... riche , les patriciens s'en emparèrent . Il est vrai que les droits de l'État furent ex- pressément réservés ; l'ager publicus fut même déclaré ina- liénable et imprescriptible , et les occupants se soumirent à une redevance annuelle ...
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... riches ne pouvaient envoyer aux pâturages communs plus de cent bêtes à cornes et cinq cent moutons , etc. ( Tite - Live , VII , 16 ; Arendt , ibid . , p . 332 ; Moreau - Christophe , Problème de la Misère , T. I , p . 318 et 319 ) ...
... riches ne pouvaient envoyer aux pâturages communs plus de cent bêtes à cornes et cinq cent moutons , etc. ( Tite - Live , VII , 16 ; Arendt , ibid . , p . 332 ; Moreau - Christophe , Problème de la Misère , T. I , p . 318 et 319 ) ...
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... riches , déjà maîtres de l'ager privatus , se voyaient donc ar- rêtés , de ce côté , dans leurs projets d'agrandissement . Ils ne trouvèrent rien de mieux que de franchir la barrière , et ils furent assez puissants pour s'assurer l ...
... riches , déjà maîtres de l'ager privatus , se voyaient donc ar- rêtés , de ce côté , dans leurs projets d'agrandissement . Ils ne trouvèrent rien de mieux que de franchir la barrière , et ils furent assez puissants pour s'assurer l ...
Page 78
... riches , de l'autre , il recom- mande aux pauvres la patience et la résignation . Il ne leur dit point que les riches se sont emparés du patrimoine com- mun que Dieu avait destiné à l'espèce humaine ; il ne les engage pas à revendiquer ...
... riches , de l'autre , il recom- mande aux pauvres la patience et la résignation . Il ne leur dit point que les riches se sont emparés du patrimoine com- mun que Dieu avait destiné à l'espèce humaine ; il ne les engage pas à revendiquer ...
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Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bles Bloemardine bonheur Cabet Campanella Carpocrate catholique choses chrétiens christianisme Cité du soleil citoyens civile classes Clément d'Alexandrie Code communauté communisme conseils évangéliques conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disciples dit-il doctrine domaine également enfants Esséniens famille femmes Fourier frères galité gnosticisme gouvernement Grèce guerre Hernhuters Hist hommes humaine Ibid idées institutions Jean de Leyde Jésus-Christ l'anabaptisme l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'Utopie législation liberté livre lois liciniennes Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment Minos misère modernes morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature Nicolaïtes paroles pauvres Pelletan peuple philosophe Platon Plutarque politique population préceptes prêcher prédications priété principes propriété individuelle Pythagore réformateurs religieux république révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint sectaires secte sénat sera seul siècle société Solariens sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre tion trad travail trouve Villegardelle
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 306 - Le but de la société est le bonheur commun. — Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 256 - ... un animal moins fort que les uns , moins agile que les autres , mais , à tout prendre , organisé le plus avantageusement de tous : je le vois se rassasiant sous un chêne , se désaltérant au premier ruisseau , trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 260 - Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable; car, sitôt que c'est la force qui fait le droit, l'effet change avec la cause: toute force qui surmonte la première succède à son droit.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 358 - L'instant est venu de fonder la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX, ce grand hospice ouvert à tous les hommes. Les jours de la restitution générale sont arrivés. Familles gémissantes, venez vous asseoir à la table commune dressée par la nature pour tous ses enfants.
Page 84 - Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; * tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.