Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la constitution française du 14 Janvier 1852, Volume 1 |
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... à plus forte raison , de discuter la part attribuée , dans les lois de Minos , soit à son frère Rhada- manthe , soit à un législateur plus ancien . - Crète , fut remplacé par des institutions républicaines . La 12 LA GRÈCE .
... à plus forte raison , de discuter la part attribuée , dans les lois de Minos , soit à son frère Rhada- manthe , soit à un législateur plus ancien . - Crète , fut remplacé par des institutions républicaines . La 12 LA GRÈCE .
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... frères n'avaient parfois qu'une seule femme pour eux tous ! ( Voy . Fragm . vatic . de Polybe , t . II , p . 384. ) Aristote affirme que la vie des femmes de Sparte se passait dans les déréglements et les excès du luxe ( Pol . L. II , C ...
... frères n'avaient parfois qu'une seule femme pour eux tous ! ( Voy . Fragm . vatic . de Polybe , t . II , p . 384. ) Aristote affirme que la vie des femmes de Sparte se passait dans les déréglements et les excès du luxe ( Pol . L. II , C ...
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... frères , mais le Dieu qui vous a formés a mêlé de l'or dans la composition de ceux d'entre vous qui sont propres à gouverner les autres , de l'argent dans la composition des guerriers , du fer et de l'airain dans la composition des ...
... frères , mais le Dieu qui vous a formés a mêlé de l'or dans la composition de ceux d'entre vous qui sont propres à gouverner les autres , de l'argent dans la composition des guerriers , du fer et de l'airain dans la composition des ...
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... écrier : nihil sub cœlo novum ! ! - C'est bien le Meng - tseu naquit vers 400 av . J.-C. Après Confucius , il occupe le pre- mier rang parmi les philosophes de sa patrie . » dans les autres un frère ou une sœur , 48 LA GRÈCE .
... écrier : nihil sub cœlo novum ! ! - C'est bien le Meng - tseu naquit vers 400 av . J.-C. Après Confucius , il occupe le pre- mier rang parmi les philosophes de sa patrie . » dans les autres un frère ou une sœur , 48 LA GRÈCE .
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Jean Joseph Thonissen. » dans les autres un frère ou une sœur , un fils ou une fille , » un père ou une mère ( 1 ) . » L'éducation est égale et commune , et , chose digne de remarque , aucune distinction n'est faite à ce sujet entre les ...
Jean Joseph Thonissen. » dans les autres un frère ou une sœur , un fils ou une fille , » un père ou une mère ( 1 ) . » L'éducation est égale et commune , et , chose digne de remarque , aucune distinction n'est faite à ce sujet entre les ...
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Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bles Bloemardine bonheur Cabet Campanella Carpocrate catholique choses chrétiens christianisme Cité du soleil citoyens civile classes Clément d'Alexandrie Code communauté communisme conseils évangéliques conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disciples dit-il doctrine domaine également enfants Esséniens famille femmes Fourier frères galité gnosticisme gouvernement Grèce guerre Hernhuters Hist hommes humaine Ibid idées institutions Jean de Leyde Jésus-Christ l'anabaptisme l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'Utopie législation liberté livre lois liciniennes Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment Minos misère modernes morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature Nicolaïtes paroles pauvres Pelletan peuple philosophe Platon Plutarque politique population préceptes prêcher prédications priété principes propriété individuelle Pythagore réformateurs religieux république révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint sectaires secte sénat sera seul siècle société Solariens sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre tion trad travail trouve Villegardelle
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 306 - Le but de la société est le bonheur commun. — Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 256 - ... un animal moins fort que les uns , moins agile que les autres , mais , à tout prendre , organisé le plus avantageusement de tous : je le vois se rassasiant sous un chêne , se désaltérant au premier ruisseau , trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 260 - Supposons un moment ce prétendu droit. Je dis qu'il n'en résulte qu'un galimatias inexplicable; car, sitôt que c'est la force qui fait le droit, l'effet change avec la cause: toute force qui surmonte la première succède à son droit.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 358 - L'instant est venu de fonder la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX, ce grand hospice ouvert à tous les hommes. Les jours de la restitution générale sont arrivés. Familles gémissantes, venez vous asseoir à la table commune dressée par la nature pour tous ses enfants.
Page 84 - Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; * tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui soit à ton prochain.