Les grands jours de la République |
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Common terms and phrases
Adeline Adieu amis Armand Renaud armes Arrivé Arthur ARNOULD avaient Babœuf baïonnettes balles barricade Berthollat bourgeois bras C'était canon carbonarisme Charles Lagrange citoyen Claude cœur compagnons continua-t-il coup Croix-Rousse d'Armand debout Décadi devant dit-il d'une voix drapeau enfants femme foule Fouques fusil garçon gardes nationaux Gautrot Grand'Côte heures insurgés j'ai Jean-Just Jeanne jeune homme Joseph jours l'abbé l'homme Lagrange laissa tomber Laurence Legall Léon CLADEL leva lèvres Luc Rhonan Lyon main maison Manosque Marc matin ment mère Marianne Mme Tirard monsieur mort mourir murmura-t-il n'avait Nicot notaire nuit ouvriers pâle passé pauvre pavé père peuple pied pistolets pont d'Austerlitz porte préfet prêtre Razoua regardait répondit Répu républicain reste ricade rouge rue de Montmorency rue Transnonain s'était Saint-Merry sang sera sergent Seychelles silence soir soldats Tauran tête troupes vais venait vieille vieux Villard visage Vive la République voilà yeux Zimmer
Popular passages
Page 7 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 124 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 126 - Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d'exprimer sa volonté avec une entière liberté. 27. Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres.
Page 125 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 127 - Mais tout acte contre la liberté, contre la sûreté ou contre la propriété d'un homme, exercé par qui que ce soit, même au nom de la loi, hors des cas déterminés par elle, et des formes qu'elle prescrit, est arbitraire et nul ; le respect même de la loi défend de s'y soumettre ; et si on veut l'exécuter par la violence, il est permis de le repousser par la force.
Page 128 - Les aristocrates, les tyrans, quels qu'ils soient, sont des esclaves révoltés contre le souverain de la terre, qui est le genre humain, et contre le législateur de l'univers, qui est la nature.
Page 123 - Le but de toute association politique est le maintien des droits naturels et imprescriptibles de l'homme et le développement de toutes ses facultés.
Page 128 - Ceux qui font la guerre à un peuple pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'homme, doivent être poursuivis par tous, non comme des ennemis ordinaires, mais comme des assassins et des brigands rebelles.
Page 124 - La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme, d'exercer à son gré toutes ses facultés; elle a la justice pour règle, les droits d'autrui pour bornes, la nature pour principe, et la loi pour sauvegarde.
Page 127 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.