La politique étrangère de Louis XIV: conquête de Hollande, avec un portrait de l'auteur et une préface de m. Émile Burnouf |
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La politique étrangère de Louis XIV: conquête de Hollande, avec un portrait ... Édouard Waldteufel No preview available - 1898 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 40 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 190 - Rhin et l'Issel se rendirent. Quelques gouverneurs envoyèrent leurs clefs, dès qu'ils virent seulement passer de loin un ou deux escadrons français : plusieurs officiers s'enfuirent des villes où ils étaient en garnison , avant que l'ennemi fût dans leur territoire; la consternation était générale. Le prince d'Orange n'avait point encore assez de troupes pour paraître en campagne. Toute la Hollande s'attendait à passer sous le joug, dès que le roi serait au-delà du Rhin.
Page 156 - Le camp du duc de Bourgogne tomba encore une fois aux mains des Suisses. Il n'était plus aussi riche qu'à Granson ; toutefois les provisions de vivres et les munitions de toute sorte étaient en abondance. L'artillerie était nombreuse ; elle fut partagée entre les alliés. Le duc René reconnut ses canons de Lorraine; ils lui furent rendus , et les Suisses , pour lui montrer toute leur affection , lui donnèrent la baraque de charpente qui servait de logis au duc de Bourgogne.
Page 176 - Lesquels seigneurs rois ayant , chacun en son particulier, beaucoup plus de sujets qu'ils n'en auraient besoin pour justifier dans le monde la résolution qu'ils ont prise de mortifier l'orgueil des états-généraux des Provinces-Unies des Pays-Bas et d'abattre la puissance d'une nation qui s'est si souvent noircie d'une...
Page 23 - Rethel, etc.). Partout la famine et la mort, les corps sans sépulture. Ceux qui restent ramassent aux champs des brins d'avoine pourrie, en font un pain de boue. Leurs visages sont noirs; ce ne sont plus des hommes, mais des fantômes... La guerre...
Page 39 - France en état d'affermir dans la plus parfaite liberté les bases d'un gouvernement monarchique également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la Nation française.
Page 25 - Feillet). Nous rencontrons des hommes si faibles, qu'ils rampent comme des lézards sur les fumiers. Ils s'y enfouissent la nuit comme des bêtes, et s'exposent le jour au soleil, déjà remplis et pénétrés de vers. On en trouve gisant pêle-mêle avec leurs morts, dont ils n'ont pas la force de s'éloigner. Ce que nous n'oserions dire, si nous ne l'avions vu, ils se mangent les bras et les mains, et meurent dans le désespoir.
Page 40 - ... brûlées ; tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris étaient rendus responsables de tous les événements sur leur tête, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon ; déclarant que...
Page 82 - Ce que j'ai remarqué, dans toute la teneur de votre dépêche, c'est que le roi mon frère, ni ceux dont il prend conseil, ne me connaissent pas encore bien, quand ils prennent avec moi des voies de hauteur et d'une certaine fermeté qui sent la menace. Je ne connais puissance sous le ciel qui soit capable de me faire avancer un pas par un chemin de cette sorte; il me peut bien arriver du mal, mais non pas une impression de crainte.
Page 66 - Sa majesté ayant toujours affectionné la maison de « Vendôme, désire la 'favoriser en toutes les occasions qui « se présenteront, et emploiera son autorité pour faire que « les états de Bretagne exécutent ce qui a été promis pour « le dédommager de la démolition de ses châteaux....