Cours de littérature française, Volume 4 |
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Popular passages
Page 147 - ... allez dire à votre maître que nous sommes ici par la puissance du peuple, et qu'on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes.
Page 310 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 301 - J'élèverai la tombe où manquera sa cendre, Mais où vivront du moins et son doux souvenir, Et sa gloire, et ses vers dictés pour l'avenir. Là ,,. quand de thermidor la septième journée Sous les feux du Lion ramènera l'année, 0 mon frère ! je veux, relisant tes écrits, Chanter l'hymne funèbre à tes mânes proscrits. Là , souvent tu verras, près de ton mausolée, Tes frères gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d'ombre et des fleurs; Et ton jeune laurier grandira...
Page 166 - Les discussions amiables valent mieux pour s'entendre que les insinuations calomnieuses , les inculpations forcenées, les haines de la rivalité , les machinations de l'intrigue et de la malveillance. On répand depuis huit jours que la section de l'assemblée nationale qui veut le concours de la volonté royale dans • l'exercice du droit de la paix et de la guerre, est parricide de la liberté publique ; on répand les bruits de perfidie, de corruption; on invoque les vengeances populaires pour...
Page 311 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars , et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine.
Page 167 - Et moi aussi , on voulait, il ya peu de jours , me porter en triomphe ; et maintenant on crie dans les rues : La grande trahison du comte de Mirabeau...
Page 324 - Aux bords de l'Éridan , de l'Adige et du Tibre , Foudroyant tour à tour quelques tyrans pervers, Des nations en pleurs sa main brisait les fers; Ou quand son noble exil aux sables de Syrie , Des palmes du Liban couronnait sa patrie. Mais...
Page 380 - ... à Saint-Pétersbourg, soit que la longueur de l'hiver et la rareté de ces nuits leur donnent, en les rendant plus désirables, un charme particulier, soit que réellement, comme je le crois, elles soient plus douces et plus calmes que dans les plus beaux climats. Le soleil, qui, dans les zones tempérées, se précipite à l'occident, et ne laisse après lui qu'un crépuscule fugitif rase ici lentement une terre dont il semble se détacher à regret. Son disque, environné de vapeurs rougeâtres,...
Page 380 - Rien n'est plus rare, mais rien n'est plus enchanteur qu'une belle nuit d'été à Saint-Pétersbourg; soit que la longueur de l'hiver et la rareté de ces nuits leur donnent, en les rendant plus désirables, un charme particulier, soit que réellement, comme je le crois, elles soient plus douces et plus, calmes que dans les plus beaux climats. Le soleil qui, dans les zones tempérées se précipite à l'occident et ne laisse après lui qu'un crépuscule fugitif, rase ici lentement une terre dont...
Page 311 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.