Histoire du Directoire, Volume 2Méline, Cans, 1851 - France |
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... n'était point la liberté du peuple , mais le rappel de quelques ministres ( 2 ) . } ) C'était par les conseils de Robespierre que Chabot s'était rendu au faubourg Saint - Antoine , pour faire avorter les pro- jets des Girondins , non ...
... n'était point la liberté du peuple , mais le rappel de quelques ministres ( 2 ) . } ) C'était par les conseils de Robespierre que Chabot s'était rendu au faubourg Saint - Antoine , pour faire avorter les pro- jets des Girondins , non ...
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... n'était pas intimement lié avec lui jusqu'à la fin de 1791 , et qu'il ne l'a pas vu depuis la fin de 1792. Et comme Fouquier - Tinville lisait une lettre intime de Pétion , dans laquelle il s'applaudissait du retour de ma- dame de ...
... n'était pas intimement lié avec lui jusqu'à la fin de 1791 , et qu'il ne l'a pas vu depuis la fin de 1792. Et comme Fouquier - Tinville lisait une lettre intime de Pétion , dans laquelle il s'applaudissait du retour de ma- dame de ...
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... n'était pas conforme à celle de mes collègues , et la Convention natio- nale m'en a su gré dans le temps , puisqu'elle m'exempta du décret d'arrestation prononcé contre eux ( 1 ) . » Vigée : « Si l'établissement de la commission des ...
... n'était pas conforme à celle de mes collègues , et la Convention natio- nale m'en a su gré dans le temps , puisqu'elle m'exempta du décret d'arrestation prononcé contre eux ( 1 ) . » Vigée : « Si l'établissement de la commission des ...
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... n'était qu'une fermeture momentanée , on fut sur - le - champ d'accord , et tout le monde qui se trouvait là blâma la sortie de Guadet . » Vergniaud : « Je ne sais pas si le témoin est venu deux fois au comité pour le même objet ; je m ...
... n'était qu'une fermeture momentanée , on fut sur - le - champ d'accord , et tout le monde qui se trouvait là blâma la sortie de Guadet . » Vergniaud : « Je ne sais pas si le témoin est venu deux fois au comité pour le même objet ; je m ...
Page 25
... n'était sûrement pas disposé à les lâcher au mois d'octobre . Alors , à quoi bon s'abaisser dans leur propre estime , et s'humilier aux yeux de l'histoire ? Quel profit pensait tirer Antiboul de son triste mensonge , lorsqu'il se ...
... n'était sûrement pas disposé à les lâcher au mois d'octobre . Alors , à quoi bon s'abaisser dans leur propre estime , et s'humilier aux yeux de l'histoire ? Quel profit pensait tirer Antiboul de son triste mensonge , lorsqu'il se ...
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Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses amis armée arrêté avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du tribunal Buzot C'était Camille Desmoulins Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité commission des Douze Conciergerie Condorcet Constitution Convention courage Danton déchéance déclaration décret demande département député directoire discours dit-elle Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette fédérés Fonfrède fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Grangeneuve Guadet hommes ibid Idem Jacobins journal juillet l'Assemblée législative l'émeute l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet Luxembourg madame Roland maire Mandat Marat Marseillais Mémoires de madame ment ministres mois monarchie Moniteur mort municipalité n'avait n'était octobre patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophes politique prison Prudhomme Ræderer raison République reste révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer s'était Santerre séance sections serait Sillery sort tion transféré tribunal révolutionnaire tribune trouver Tuileries Vergniaud vertu d'un jugement
Popular passages
Page 278 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 276 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 277 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire...
Page 293 - Le chef du pouvoir exécutif est le premier anneau de la chaîne contre-révolutionnaire. Il semble participer aux complots de Pilnitz, qu'il a fait connaître si tard. Son nom lutte chaque jour contre celui de la nation ; son nom est un signal de discorde entre le peuple et ses magistrats, entre les soldats et les généraux. Il a séparé ses intérêts de ceux...
Page 277 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis! Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix. Tout est soldat pour vous combattre...
Page 188 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à...
Page 281 - Dansons la Carmagnole./ Vive le son. vive le son./ Dansons la Carmagnole./ Vive le son du canon .'/ /Monsieur Veto avait promis!
Page 222 - Ici les principes de liberté et d'égalité sont chéris, les lois respectées, la propriété sacrée; ici l'on ne connaît ni les calomnies ni les factions : et lorsque je songe que la France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement...
Page 221 - Jourdan trouvent des panégyristes; là, le récit de l'assassinat qui a souillé la ville de Metz vient encore d'exciter d'infernales acclamations. « Croira-t-on échapper à ces reproches, en se targuant d'un manifeste autrichien, où ces sectaires (les Jacobins) sont nommés?
Page 63 - Ravage se tait : mais le lendemain matin on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.