Histoire du Directoire, Volume 2Méline, Cans, 1851 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 67
Page 2
... Louis XVI ? Ils étaient envoyés par le parti des Girondins , afin de réclamer bruyamment et d'obtenir par la force la rentrée de leurs trois ministres favoris , Roland , Servan et Clavière , aux- quels le roi avait été forcé de retirer ...
... Louis XVI ? Ils étaient envoyés par le parti des Girondins , afin de réclamer bruyamment et d'obtenir par la force la rentrée de leurs trois ministres favoris , Roland , Servan et Clavière , aux- quels le roi avait été forcé de retirer ...
Page 3
... Louis XVI répondit , avec le plus grand calme : « J'ai juré de maintenir la Constitution , je la soutiendrai au péril de ma vie . Si vous avez quelque demande à m'adresser , ce n'est ni pour vous le moment de la faire , ni pour moi ...
... Louis XVI répondit , avec le plus grand calme : « J'ai juré de maintenir la Constitution , je la soutiendrai au péril de ma vie . Si vous avez quelque demande à m'adresser , ce n'est ni pour vous le moment de la faire , ni pour moi ...
Page 10
... Louis XVI , pour s'en partager l'influence et les profits , ils n'avaient en commun ni opinions , ni plans , ni projets de gouvernement . Bien plus , ils n'avaient les uns pour les autres ni confiance , ni affection , ni estime . On ne ...
... Louis XVI , pour s'en partager l'influence et les profits , ils n'avaient en commun ni opinions , ni plans , ni projets de gouvernement . Bien plus , ils n'avaient les uns pour les autres ni confiance , ni affection , ni estime . On ne ...
Page 13
... Louis XVI , Vergniaud « se défend d'avoir eu des intimités avec Brissot et Gensonné . Il répond ainsi au reproche de s'être obstinément opposé à la déchéance ( 3 ) , quand on pouvait la décréter ( 4 ) . » VII Voilà donc jusqu'ici les ...
... Louis XVI , Vergniaud « se défend d'avoir eu des intimités avec Brissot et Gensonné . Il répond ainsi au reproche de s'être obstinément opposé à la déchéance ( 3 ) , quand on pouvait la décréter ( 4 ) . » VII Voilà donc jusqu'ici les ...
Page 77
... 16 août 1792 5 , n sait que le vote de Condorcet , sur la peine à infliger à Louis XVI , avait été ainsi formulé : Ad omnia citra mortem . C'était la formule consacrée , par laquelle les chambres des Présidiaux et des Tournelles ...
... 16 août 1792 5 , n sait que le vote de Condorcet , sur la peine à infliger à Louis XVI , avait été ainsi formulé : Ad omnia citra mortem . C'était la formule consacrée , par laquelle les chambres des Présidiaux et des Tournelles ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses amis armée arrêté avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du tribunal Buzot C'était Camille Desmoulins Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité commission des Douze Conciergerie Condorcet Constitution Convention courage Danton déchéance déclaration décret demande département député directoire discours dit-elle Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette fédérés Fonfrède fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Grangeneuve Guadet hommes ibid Idem Jacobins journal juillet l'Assemblée législative l'émeute l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet Luxembourg madame Roland maire Mandat Marat Marseillais Mémoires de madame ment ministres mois monarchie Moniteur mort municipalité n'avait n'était octobre patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophes politique prison Prudhomme Ræderer raison République reste révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer s'était Santerre séance sections serait Sillery sort tion transféré tribunal révolutionnaire tribune trouver Tuileries Vergniaud vertu d'un jugement
Popular passages
Page 278 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 276 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 277 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire...
Page 293 - Le chef du pouvoir exécutif est le premier anneau de la chaîne contre-révolutionnaire. Il semble participer aux complots de Pilnitz, qu'il a fait connaître si tard. Son nom lutte chaque jour contre celui de la nation ; son nom est un signal de discorde entre le peuple et ses magistrats, entre les soldats et les généraux. Il a séparé ses intérêts de ceux...
Page 277 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis! Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix. Tout est soldat pour vous combattre...
Page 188 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à...
Page 281 - Dansons la Carmagnole./ Vive le son. vive le son./ Dansons la Carmagnole./ Vive le son du canon .'/ /Monsieur Veto avait promis!
Page 222 - Ici les principes de liberté et d'égalité sont chéris, les lois respectées, la propriété sacrée; ici l'on ne connaît ni les calomnies ni les factions : et lorsque je songe que la France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement...
Page 221 - Jourdan trouvent des panégyristes; là, le récit de l'assassinat qui a souillé la ville de Metz vient encore d'exciter d'infernales acclamations. « Croira-t-on échapper à ces reproches, en se targuant d'un manifeste autrichien, où ces sectaires (les Jacobins) sont nommés?
Page 63 - Ravage se tait : mais le lendemain matin on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.