Histoire de gouvernement parlementaire en France: 1814-1848, précédée d'une introduction, Volume 4 |
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amis articles avaient Benjamin Constant Benjamin Delessert Beugnot Blacas Bonald Bonaparte Bourdonnaie brochure Broglie budget c'était Camille Jordan candidats Censeur cent Cent-Jours Chambre des députés Chambre des pairs Charte Chateaubriand collègues commission Comte et Dunoyer concordat conseil constitutionnelle Corbière Correspondances diplomatiques Courvoisier d'ailleurs débat Decazes déclaration demandait devait disait-il discours discussion dit-il doctrinaires doctrines duc de Richelieu duc de Wellington écrit électeurs électoral enfin étrangers eût Fiévée fût gauche général Canuel gouvernement hommes indépendants jour journaux jugement jury l'amendement l'emprunt l'opinion l'opposition royaliste Laffitte Lainé légitime lettre libéraux liberté loi des élections lois lord Castlereagh Louis XVIII madame de Staël majorité maréchal Gouvion-Saint-Cyr ment millions Minerve ministériels ministres Molé monarchie Monsieur n'avait n'était nation non-seulement paraissait Pasquier police politique pouvait presse principe projet de loi propos Prusse publique question recrutement rentes représentatif restait Révolution Royer-Collard s'était secrète sentiments serait session seul surtout système tion tribune ultra-royalistes Villèle voix vote voulait
Popular passages
Page 419 - Ils reconnaissent formellement que leurs devoirs envers Dieu et envers les peuples qu'ils gouvernent leur prescrivent de donner au monde, autant qu'il est en eux, l'exemple de la justice, de la concorde, de la modération, heureux de pouvoir consacrer désormais tous leurs efforts à protéger les arts de la paix, à accroître la prospérité intérieure de leurs états, et à réveiller ces sentiments de religion et de morale dont le malheur des temps n'a que trop affaibli l'empire.
Page 239 - ... l'époque n'est pas éloignée où il nous est permis d'espérer que, grâce à la sagesse et à la force de mon gouvernement, à l'amour, à la confiance de mon peuple et à l'amitié des souverains, ces charges pourront entièrement cesser, et que notre patrie reprendra parmi les nations le rang et l'éclat dus à la valeur des Français et à leur noble attitude dans l'adversité. Pour parvenir à ce résultat...
Page 140 - ... contraintes de se cacher. Trop heureux alors si quelques-unes de nos montagnes gardent pour la postérité une douzaine de ces chênes, antique honneur de notre patrie, comme le Liban montre les dix-neuf cèdres restés debout sur son sommet.
Page 302 - France, et, pour me renfermer dans ce qui me concerne directement, il s'agit de savoir si nous appellerons encore à la défense de la patrie les soldats qui ont fait sa gloire, ou si nous les déclarerons à jamais dangereux pour son repos. Ce dernier arrêt serait...
Page 211 - VI turent modifiés, l'article VI en restreignant aux titulaires actuels et à des cas graves la faculté accordée au roi et au pape, l'article III en déclarant les articles organiques abrogés seulement « en ce qu'ils avaient de contraire à la doctrine et aux lois de l'Eglise. » A entendre M. de Blacas, cette dernière modification devait faire échouer encore une fois la négociation, et ni le pape ni le cardinal Gonsalvi n'y pouvaient consentir. Le pape et le cardinal Gonsalvi y consentirent...
Page 459 - Conservateur, qui devait soutenir la religion, le Roi, la liberté, la charte et les honnêtes gens. En même temps leur parti s'organisait. Chateaubriand, chef de l'opposition dans la Chambre des Pairs, se rapprochait de M. de Villèle qui dirigeait le mouvement dans la Chambre élective. Les deux hommes étaient peu faits pour s'entendre.
Page 493 - Messieurs, que cette charte, en délivrant la France du despotisme, a mis un terme aux révolutions. Je compte sur votre concours pour repousser les principes pernicieux qui, sous le masque de la liberté , attaquent l'ordre social , conduisent par l'anarchie au pouvoir absolu , et dont le funeste succès a coûté au monde tant de sang et tant de larmes.
Page 302 - ... ses adversités, elle cesse de s'enorgueillir de ces hommes que l'Europe n'a pas cessé d'admirer. Non, messieurs, je ne puis le croire ; notre salut ne réside point dans l'oubli de tant de services, dans la méfiance de tant de courage, dans l'abandon d'un boulevard si sûr. Nos soldats ont beaucou expié, car ils ont beaucoup souffert ; qui donc s'obstinerait à les repousser encore?...
Page 83 - Tout auteur prudent et sage consulte un ami avant de publier un ouvrage. Le gouvernement , ami de tous les honnêtes gens et de toutes les bonnes choses , dit aux écrivains : « Vous me consulterez comme un ami, avant de publier un ouvrage qui peut contrarier les doctrines publiques dont je suis le dépositaire et le gardien. Je nommerai des hommes éclairés et vertueux , à qui vous confierez votre manuscrit. Ils seront à la fois vos conseils et vos juges , et vos juges naturels...
Page 417 - ... tels que ceux que la France avait contractés, le roi a senti qu'elle était redevable de ce nouveau genre de gloire à la force des institutions qui la régissent, et il voit avec joie que l'affermissement de...