Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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... naturel , » où l'on remarque cette aisance et cette légè- » reté qui doivent caractériser le genre , ой >> l'on admire enfin cette gaieté soutenue dans » le style et les situations , si éloignées des >> bouffonneries qui étoient alors ...
... naturel , » où l'on remarque cette aisance et cette légè- » reté qui doivent caractériser le genre , ой >> l'on admire enfin cette gaieté soutenue dans » le style et les situations , si éloignées des >> bouffonneries qui étoient alors ...
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... naturel ! » Ne cessons de le dire : le naturel est le charme >> le plus sûr et le plus durable ; c'est lui qui >> les fait aimer ; c'est le naturel qui rend les » écrits des anciens si précieux , parce que , >> maniant un idiôme plus ...
... naturel ! » Ne cessons de le dire : le naturel est le charme >> le plus sûr et le plus durable ; c'est lui qui >> les fait aimer ; c'est le naturel qui rend les » écrits des anciens si précieux , parce que , >> maniant un idiôme plus ...
Page 55
... naturel qui fait que les Lettres d'une mère » à sa fille , sont quelque chose , et que celles » de Balzac , de Voiture , et la déclamation et >> l'affectation en tout genre , sont , comme dit » Sosie , rien ou peu de chose . » Les ...
... naturel qui fait que les Lettres d'une mère » à sa fille , sont quelque chose , et que celles » de Balzac , de Voiture , et la déclamation et >> l'affectation en tout genre , sont , comme dit » Sosie , rien ou peu de chose . » Les ...
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... naturel .... Quant à la dé- cence , si l'on veut s'assurer de ce qu'en pensoit l'auteur lui - même , malgré tous les cris qu'il affecte de faire entendre à ce sujet , on en peut juger par le persifflage qu'il mêle à ses décla- mations ...
... naturel .... Quant à la dé- cence , si l'on veut s'assurer de ce qu'en pensoit l'auteur lui - même , malgré tous les cris qu'il affecte de faire entendre à ce sujet , on en peut juger par le persifflage qu'il mêle à ses décla- mations ...
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... naturel , que si par malheur il avoit un style , il s'efforceroit de l'oublier quand il fait une comédie ; il évoque ses per- sonnages ; il écrit sous leur dictée rapide , etc. Point du tout , M. de Beaumarchais : les in- vocations et ...
... naturel , que si par malheur il avoit un style , il s'efforceroit de l'oublier quand il fait une comédie ; il évoque ses per- sonnages ; il écrit sous leur dictée rapide , etc. Point du tout , M. de Beaumarchais : les in- vocations et ...
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Common terms and phrases
amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère choses cœur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Gresset Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française livre loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite mille mœurs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Popular passages
Page 36 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 428 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 36 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
Page 410 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 392 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 16 - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
Page 26 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Page 5 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 426 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 26 - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.