Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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Page 6
... jours gai , jamais bouffon , augmente le comi- » que de la situation ( * ) . » » par ( * ) Essai qui précède la Grammaire de Port - Royal , nouvelle édition . Corneille disoit que , pour décider quelle étoit la plus 6 ESSAIS SUR LA.
... jours gai , jamais bouffon , augmente le comi- » que de la situation ( * ) . » » par ( * ) Essai qui précède la Grammaire de Port - Royal , nouvelle édition . Corneille disoit que , pour décider quelle étoit la plus 6 ESSAIS SUR LA.
Page 9
... jours . Toutes les paroles qui se chantent sont de Quinault , à la réserve de la plainte italienne , qui est de Lully , etc. » Les vers cités ici sont dans la scène troisième du troisième acte ; par conséquent , ils sont de P. Corneille ...
... jours . Toutes les paroles qui se chantent sont de Quinault , à la réserve de la plainte italienne , qui est de Lully , etc. » Les vers cités ici sont dans la scène troisième du troisième acte ; par conséquent , ils sont de P. Corneille ...
Page 18
... jour on lui voit tout tenter Pour fléchir sa captive , ou pour l'épouvanter . De son fils , qu'il lui cache , il menace la tête , Et fait couler des pleurs qu'aussitôt il arrète . Hermione elle - même a vu plus de cent fois Cet amant ...
... jour on lui voit tout tenter Pour fléchir sa captive , ou pour l'épouvanter . De son fils , qu'il lui cache , il menace la tête , Et fait couler des pleurs qu'aussitôt il arrète . Hermione elle - même a vu plus de cent fois Cet amant ...
Page 21
... jours . Mais j'espère qu'enfin le Ciel , las de tes crimes , Ajoutera ta perte à tant d'autres victimes ; Qu'après t'être couvert de leur sang et du mien , Tu te verras forcé de répandre le tien ; Et ton nom paroîtra , dans la race ...
... jours . Mais j'espère qu'enfin le Ciel , las de tes crimes , Ajoutera ta perte à tant d'autres victimes ; Qu'après t'être couvert de leur sang et du mien , Tu te verras forcé de répandre le tien ; Et ton nom paroîtra , dans la race ...
Page 25
... , Et jamais leurs chagrins ne nous laissent vieillir . Bajazet aujourd'hui m'honore et me caresse ; Ses périls tous les jours réveillent sa tendresse . Ce même Bajazet , sur le trône affermi , Méconnoîtra 2 . D LITTÉRATURE FRANCAISE . 25.
... , Et jamais leurs chagrins ne nous laissent vieillir . Bajazet aujourd'hui m'honore et me caresse ; Ses périls tous les jours réveillent sa tendresse . Ce même Bajazet , sur le trône affermi , Méconnoîtra 2 . D LITTÉRATURE FRANCAISE . 25.
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amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère choses cœur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Gresset Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française livre loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite mille mœurs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Popular passages
Page 36 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 428 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 36 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
Page 410 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 392 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 16 - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
Page 26 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Page 5 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 426 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 26 - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.