Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 15
... être fondé , on doit avouer aussi que le théâtre doit , au tableau de l'amour , les émotions les plus puissantes et les plus variées . L'amour est , de toutes les passions , celle qui a le plus d'inconstance et d'orages . Il allie au ...
... être fondé , on doit avouer aussi que le théâtre doit , au tableau de l'amour , les émotions les plus puissantes et les plus variées . L'amour est , de toutes les passions , celle qui a le plus d'inconstance et d'orages . Il allie au ...
Page 24
... être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang . L'imbécille Ibrahim , sans craindre sa naissance , Traîne , exempt de péril , une éternelle enfance ; Indigne également de vivre et de mourir , On l'abandonne aux ...
... être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang . L'imbécille Ibrahim , sans craindre sa naissance , Traîne , exempt de péril , une éternelle enfance ; Indigne également de vivre et de mourir , On l'abandonne aux ...
Page 28
... être Que le seul désespoir aujourd'hui le fait naître . 1 J'excuse votre erreur ; et , pour être approuvés 28 SUR LA ESSAIS.
... être Que le seul désespoir aujourd'hui le fait naître . 1 J'excuse votre erreur ; et , pour être approuvés 28 SUR LA ESSAIS.
Page 29
... être approuvés , De semblables projets veulent être achevés . Ne vous figurez point que , de cette contrée , Par d'éternels remparts Rome soit séparée : Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient ...
... être approuvés , De semblables projets veulent être achevés . Ne vous figurez point que , de cette contrée , Par d'éternels remparts Rome soit séparée : Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient ...
Page 35
... être du nombre . Mais le chef de la cabale étoit le duc général ; et j'en fus si satisfait en mon particulier , que je vis dès - lors l'effet qu'elle alloit produire . Au sortir de la comédie , prenant M. Chapelain par la main ...
... être du nombre . Mais le chef de la cabale étoit le duc général ; et j'en fus si satisfait en mon particulier , que je vis dès - lors l'effet qu'elle alloit produire . Au sortir de la comédie , prenant M. Chapelain par la main ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère choses cœur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Gresset Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française livre loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite mille mœurs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Popular passages
Page 36 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 428 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 36 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...
Page 410 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 392 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 16 - Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille; Rome, ce ciel, ce jour que tu reçus de moi, Par-tout, à tout moment, m'offriront devant toi. Tes remords te suivront comme autant de furies : Tu...
Page 26 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Page 5 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 426 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime , et digne de tous les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 26 - Marchons, et dans son sein rejetons cette guerre Que sa fureur envoie aux deux bouts de la terre. Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers ; Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers ; Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.