Voyage en Icarie |
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Anabaptistes Angleterre Arnaud de Brescia ateliers bientôt bonheur charmante chevaux citoyens Comité commun Communauté communaux conséquent conspirations Constitution Corilla crimes d'Icarie Démocratie Députés despotisme Dieu Dinaïse Dinamé Dinaros dire dis-je Écoutez éducation également Égypte enfants enfants d'Icarie espèce Eugène famille femmes fêtes Fraternité frère frères Moraves Genre humain Gouvernement Gracques Grand-Jugeur guerre heures heureux hommes Icarie Icariens immense Jésus-Christ jolies jour juger Kalar l'Aristocratie l'éducation l'Égalité l'homme l'Humanité l'organisation liberté Lixdox lois long-temps Louis XVI Lycurgue machines magnifique malheureux ment Miguf mille millions milord misère Nation nauté nécessaire organisation sociale ouvriers pable partout Patrie pauvres pays personne Peuple Philosophes plaisir Platon presque prêtres principe proclame Propriété publique qu'un raison Réforme Reine Religion Représentation nationale Répu République Révolution riches rien Rois savants sentiments serait seule sociale et politique Société Sparte surtout système terre tion toyens travail trouve Turgot tyrannie universelle Valmor vices voitures Voyez William
Popular passages
Page 499 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 497 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 480 - ... est glorieux pour elle d'avoir été la première qui ait montré dans ces contrées l'idée de la religion jointe à celle de l'humanité. En réparant les dévastations des Espagnols elle a commencé à guérir une des grandes plaies qu'ait encore reçues le genre humain. Un...
Page 516 - ... être moins sincèrement et moins profondément révolutionnaire. On peut préférer un instrument à un autre pour remuer le monde et le changer de place; voilà tout. Mais l'idée de révolution, c'est-àdire de changement et d'amélioration , n'en éclaire pas moins l'esprit , n'en échauffe pas moins le cœur. Quel est parmi nous l'homme pensant, l'homme de cœur et de raison , l'homme de religion et d'espérance . qui , mettant la main sur sa conscience et s'interrogeant devant Dieu en présence...
Page 499 - Nous voulons un ordre de choses où toutes les passions basses et cruelles soient enchaînées, toutes les passions bienfaisantes et généreuses éveillées par les lois; où l'ambition soit le désir de mériter la gloire et de servir la patrie; où les distinctions ne naissent que de l'égalité même...
Page 499 - Les secours publics sont une dette sacrée de la société. » Un point c'est tout ! DOCTRINE DE ROBESPIERRE « La société est obligée de pourvoir à la subsistance de tous ses membres, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'existence à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 480 - Platon , ce respect qu'il demandait pour les dieux , cette séparation d'avec les étrangers pour la conservation des mœurs, et la cité faisant le commerce et non pas les citoyens : ils donneront nos arts sans notre luxe , et nos besoins sans nos désirs.
Page 497 - La loi est l'expression de la volonté générale; tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation; elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes...
Page 499 - Le but de la société est le bonheur commun. Le Gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 498 - Ces droits appartiennent également à tous les hommes, quelle que soit la différence de leurs forces physiques et morales. L'égalité des droits est établie par la nature ; la société, loin d'y porter atteinte, ne fait que la garantir contre l'abus de la force qui la rend illusoire.