Les origines de la neutralité de la Belgique et le système de la barrière (1609-1830) |
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alliance alliés ambassadeur Anglais Anvers août Audenarde avaient avantages avril barrière Belgique Bruxelles c'était Caillères catholique céder celui-ci cession Charleroi Charles comte d'Avaux Condé conférences conquête consentement cour de Madrid Cromwell d'Estrades décembre décider déclara défense demander devait diplomatique DOLLOT donner Dunkerque ende Etats États généraux eût Flandre frontières Furnes Gand garantie garnisons gouvernement Gueldre guerre Guillaume Haye Heinsius Hollande intérêts janvier Jean de Witt juillet l'alliance l'Angleterre l'Autriche l'électeur de Bavière l'Empereur l'Escaut l'Espagne l'Europe l'infante laisser Legrelle ligue Londres Louis XIV Luxembourg Maëstricht Majesté mars Max-Emmanuel Mazarin Mémoire Menin ment ministre n'avait n'était Namur Néerlande négociation neutralité Nieuport Nimègue novembre octobre Ostende paix pays Pays-Bas espagnols Pensionnaire Philippe Philippe IV places politique Pomponne pouvait prince d'Orange projet propositions provinces belges Provinces-Unies puissances raisons refus République Richelieu royaume s'engager septembre serait seulement souverain stathouder subsides succession tion traité trève Triple-Alliance troupes voorszegde voulait Ypres
Popular passages
Page 364 - Mais quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page 471 - Que le cours des fleuves est la propriété commune et inaliénable de toutes les contrées arrosées par leurs eaux ; qu'une nation ne saurait, sans injustice, prétendre au droit d'occuper exclusivement le canal d'une rivière et d'empêcher que les peuples voisins qui bordent les rivages supérieurs ne jouissent du même avantage...
Page 79 - L'acquisition des Pays-Bas espagnols, écrivait-il, le » 20 janvier 1646, aux plénipotentiaires français à Munster, » fournirait à la ville de Paris un boulevard inexpugnable, » et ce serait alors véritablement que l'on pourrait l'appeler
Page 362 - ... je me suis toujours soumis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume , ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui pouvait m'être le plus sensible.
Page 309 - ... à ne regarder plus les choses de ce monde qu'à la lueur de ce terrible flambeau qu'on allume aux mourants.
Page 508 - Il rougissait de soumettre à l'empereur un pareil traité, mais, ajoutait-il : « Nous ne faisons qu'une trêve par laquelle nous prenons plus aisément pied en Italie que par la campagne la plus heureuse; d'ailleurs l'arrangement des affaires d'Allemagne nous procurera vingt moyens pour un de recommencer la guerre, si nous voulons.
Page 44 - Hollandais; ce à quoi il y avoit d'autant plus d'apparence, que les Hollandais accordoient lors libre exercice de la religion catholique aux lieux qu'ils prenoient ; Que si la révolte se faisoit en...
Page 22 - Egée de la mer Ionienne, empêche le choc et le mélange de leurs ondes, de même notre petite Belgique semble arrêter les grands empires qui envahiraient toutes choses et s'étendraient de toutes parts
Page 471 - République française ; n'avez-vous pas préjugé cette réunion quand vous avez décrété une organisation provisoire pour la Belgique? Vous avez tout consommé par cela seul que vous avez dit aux amis de la liberté : Organisez-vous comme nous ; c'était leur dire : Nous accepterons votre réunion, si vous la proposez...
Page 35 - A. WADDINGTON, La république des Provinces-Unies, la France et les Pays-Bas espagnols de 1630 à 1650, 2 vol.