La Nouvelle revue, Volume 251883 - French periodicals |
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime artistes assez aurait avaient bassin Bellovaques Bismarck c'était canal de Tancarville capitaine cause Cayetano Cécile chambre Chine choses cœur colonel Comédie-Italienne côté créole curie romaine Daniel Closmadeuc devant dire doña Maria Düsseldorf écoles Égypte électorale Élie Vaudremer enfant Espagnols femme Fiesco force Ganelon gouvernement gros Latour Guanajuato Havre Hector Crémieux heures homme Huétoca j'ai jamais jeune fille jour Jules Ferry l'an VIII l'éducation l'État l'Opéra-Comique laisser libéraux Librairie lutte main maître ment mètres meubles millions ministre monarchie monde mont Ganelon Montoizeau morale n'avait Napoléon Ier nation navires œuvre opéra-comique parler passé pays peintre pensée père personne peuple politique porte premier presque qu'un question raison regard répondit républicains République reste rêves rien Rodriguez rue du Ranelagh s'écria s'est salle semble señor sentiment serait seulement siècle Simon Boccanegra situation soir soldats songer sorte succès système tante Laure théâtre tion Tonkin trouve veux vice-roi voilà voix yeux
Popular passages
Page 517 - D'os et de chairs meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux...
Page 707 - Quant à de la sympathie, c'est différent : jamais on n'en a assez. Les réactionnaires, du reste, seront encore moins ménagés que les autres, car ils me semblent plus criminels. Est-ce qu'il n'est pas temps de faire entrer la Justice dans l'Art ? L'impartialité de la peinture atteindrait alors à la majesté de la loi, — et à la précision de la science...
Page 707 - Je ne veux avoir ni amour, ni haine, ni pitié, ni colère. Quant à de la sympathie, c'est différent : jamais on n'en a assez.
Page 688 - Ah ! vous croyez, parce que je passe ma vie à tâcher de faire des phrases harmonieuses en évitant les assonances, que je n'ai pas, moi aussi, mes petits jugements sur les choses de ce monde? Hélas oui ! et même je crèverai enragé de ne pas les dire.
Page 686 - Moi, un être mystérieux, chère maître, allons donc! Je me trouve d'une platitude écœurante, et je suis parfois bien ennuyé du bourgeois que j'ai sous la peau. Sainte-Beuve, entre nous, ne me connaît nullement, quoi qu'il dise. Je vous jure même (par le sourire de votre petite-fille) que je sais peu d'hommes moins « vicieux
Page 700 - Je me suis mal exprimé en vous disant «qu'il ne fallait pas écrire avec son cœur». J'ai voulu dire : ne pas mettre sa personnalité en scène. Je crois que le grand Art est scientifique et impersonnel.
Page 60 - Déclaration des droits, adoptée à la presqu'unanimité , porte en effet: « 1° que tous les hommes naissent et demeurent libres et • égaux en droits; 2° que la loi est l'expression de la • volonté générale, et que tous les citoyens ont le droit • de concourir personnellement ou par leurs représentants
Page 698 - Cette haine-là tient à quelque chose de très profond et de complexe. On la retrouve chez tous les gens d'ordre. C'est la haine que l'on porte au bédouin, à l'hérétique, au philosophe, au solitaire, au poète, et il ya de la peur dans cette haine.
Page 632 - Où le Jacque en haillons, plus vil que l'animal, Geint lamentablement sa pitoyable vie ! Siècles de haine atroce et jamais assouvie, Où, dans les caveaux sourds des donjons noirs et clos Qui ne laissent ouïr les cris ni les sanglots, Le vieux Juif, pieds et poings ferrés, et qu'on édente, Pour mieux suer son or cuit sur la braise ardente ! Siècles de ceux d'Albi scellés vifs dans les murs...
Page 632 - Jacque en haillons, plus vil que l'animal, Geint lamentablement sa pitoyable vie ! Siècles de haine atroce et jamais assouvie, Où, dans les caveaux sourds des donjons noirs et clos Qui ne laissent ouïr les cris ni les sanglots, Le vieux juif, pieds et poings ferrés, et qu'on édente, Pour mieux suer son or cuit sur la braise ardente ! Siècles de ceux d'Albi scellés vifs dans les murs, Et des milliers de harts d'où les pendus trop mûrs, Quand le vent de l'hiver les heurte et les fracasse,...