Histoire de l'Autriche-Hongrie: depuis les origines jusqu'à l'année 1878 |
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Acquisition Albert Allemands armée Autriche autrichien avaient Bavière Carinthie Carniole catholiques Charles clergé comitats comte concile constitution couronne Croatie Dalmatie Danube députés devait diète domination dynastie empereur États Étienne Ferdinand François Frédéric frère frères bohêmes frontière Galicie germanique gouvernement guerre Habsbourg Henri Histoire Hongrie Hongrois Hunyady Hussites impériale Jean Jean Hus Joseph l'Allemagne l'archiduc l'armée l'Au l'Autriche l'église l'empereur l'empire l'Europe l'histoire l'Italie Ladislas Ladislas le Posthume langue Léopold lutte Magyars maison d'Autriche Marie-Thérèse Mathias Maximilien Metternich militaire mille hommes ministre monarchie Moravie n'avait Napoléon nation nationale noblesse Otokar paix pape pays paysans Pesth peuples politique Pologne possession Prague Přemysl prince provinces Prusse Rakoczy réclamait réforme règne Reichsrath reste révolution Rodolphe Romains royale royaume de Bohême Russie s'était saint Saxe seigneurs Serbes siècle Sigismond Silésie Slaves Slovènes souverain Styrie Szapolyai Taborites Tchèques tion Tirol traité Transylvanie triche Trieste troupes Turcs utraquistes Vacslav Vienne Vladislav
Popular passages
Page 389 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 512 - Tchèque, je suis d'origine slave, et le peu que je vaux est tout entier au service de ma nation; cette nation est sans doute petite, mais elle constitue depuis ses origines une individualité historique. Ses princes sont entrés dans le concert des princes allemands, mais le peuple luimême ne s'est jamais considéré comme allemand. D'autre part, vous voulez affaiblir à jamais, rendre même impossible l'existence de l'Autriche comme État indépendant; or le maintien...
Page 474 - Hongrois! le moment est venu de recouvrer votre indépendance. Je vous offre la paix , l'intégrité de votre territoire , de votre liberté et de vos constitutions, soit telles qu'elles ont "existé , soit modifiées par vous-mêmes , si vous jugez que l'esprit du temps et les intérêts de vos concitoyens l'exigent.
Page 429 - Elle sera glorifiée, j'ose l'espérer. Un miracle se prépare. je le prédis. Chez les Slovènes pénètre Napoléon ; une génération tout entière s'élance de la terre. Appuyé d'une main sur la Gaule, je donne l'autre à la Grèce pour la sauver. A la tête de la Grèce est Corinthe, au centre de l'Europe est l'Illyrie. On appelait Corinthe l'œil de la Grèce ; l'Illyrie sera le joyau du monde.
Page 474 - ... temps et les intérêts de vos concitoyens l'exigent. Je ne veux rien de vous ; je ne désire que vous voir nation libre et indépendante. Votre union avec l'Autriche a fait votre malheur. Votre sang a coulé pour elle dans des régions éloignées et vos intérêts les plus chers ont été constamment sacrifiés à ceux des États héréditaires.
Page 560 - Tous les peuples de l'Etat sont sur un pied d'égalité et chaque peuple en particulier a droit à ce que l'inviolabilité de sa nationalité et de son idiome soit garantie...
Page 454 - I1 disait un jour à l'ambassadeur de France : « Mes peuples sont étrangers les uns aux autres : tant mieux. Ils ne prennent pas les mêmes maladies en même temps. En France, quand la fièvre vient, elle vous prend tous le même jour.
Page 447 - Belgique fut consacrée sous la garantie de l'Autriche, de la France, de l'Angleterre, de la Prusse et de la Russie.
Page 166 - Huss, doivent être les premiers dans le royaume de Bohême, comme les Français dans le royaume de France ou les Allemands en Allemagne; les lois, la volonté divine, l'instinct naturel ordonnent qu'ils occupent les premières places.
Page 356 - Lorsque tant de princes partageaient entre eux ses États , toutes les pièces de sa monarchie , immobiles et sans action , tombaient , pour ainsi dire , les unes sur les autres ; il n'y avait de vie que dans cette noblesse qui s'indigna , oublia tout pour combattre , et crut qu'il était de sa gloire de périr et de pardonner.