Journal de l'Assemblée nationale, ou Journal logographique: Première legislature, Volume 15

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Étienne Lehodey de Saultchevreuil
1792 - France
 

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Page 136 - L'Assemblée nationale, après avoir décrété l'urgence, décrète ce qui suit: ARTICLE PREMIER.
Page 192 - L'Assemblée nationale, considérant qu'un État vraiment libre ne doit souffrir dans son sein aucune corporation, pas même celles qui, vouées à l'enseignement public, ont bien mérité de la patrie...
Page 193 - Fourquevaux, et généralement toutes les corporations religieuses et Congrégations séculières d'hommes et de femmes, ecclésiastiques ou laïques, même celles uniquement vouées au service des hôpitaux et au soulagement des malades...
Page 316 - Des soldats qui, les premiers avec les gardes françaises, ont brisé nos fers, qui ensuite en ont été surchargés, arrivent dans nos murs : des citoyens projettent d'aller à leur rencontre, de les recevoir avec fraternité; ces citoyens suivent un mouvement naturel: ils usent aun droit qui appartient à tous; ils invitent leurs concitoyens, ils invitent les magistrats du peuple à s'y trouver.
Page 158 - ... vous propose le projet de décret suivant : « L'assemblée nationale , ouï le rapport de son comité de constitution, décrète ce qui suit : Art.
Page 113 - De régler et de surveiller tout ce qui concerne, tant la perception et le versement du produit de ces contributions, que le service et les fonctions des agens qui en seront chargés...
Page 192 - Les corporations connues en France sous le nom de congrégations séculières ecclésiastiques, telles que celles des prêtres de l'Oratoire de JÉSUS, de la Doctrine chrétienne, de la mission de France ou de Saint-Lazare, des Eudistes, de Saint-Joseph, de Saint-Sulpice, de...
Page 175 - ... couleurs, les pèlerins, et toutes autres associations de piété ou de charité, sont éteintes et supprimées, à dater du jour de la publication du présent décret.
Page 317 - II en résulterait, au contraire, un avantage sensible : c'est que l'esprit public s'élève et prend un nouveau degré d'énergie au milieu des fêtes civiques. » Je ne pense pas qu'il y ait sur la terre beaucoup d'hommes assez idiots pour méconnaître cette vérité-là.
Page 319 - On a persuadé à ces esclaves que notre dessein étoit de les désarmer ,:pour les exterminer ensuite avec plus de facilité. Tels. sont les moyens affreux qu'on a employés pour les empêcher de se rendre. Nous en avons des preuve» positives dans la déposition de ceux qui ont été arrêtés.

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