Annales historiques de la Révolution française, Volume 5Firmin-Didot and c., 1928 - France |
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9 thermidor administrateurs adresse Albert MATHIEZ Alcan Annales révolutionnaires Antoine RICHARD Arch Archives arrêté assignats Aulard avaient avés-vous Babeuf Barère Beauvais Blanqui brochures Brodequins brumaire Calonne canton Charles PORÉE citoyens Comité de Salut Comité de Sûreté Comité de surveillance communales de Beauvais Conseil Constitution Convention décret décrets de ventôse département député Directoire discours district documents émigrés Emile LESUEUR ès-lettres frimaire fructidor germinal Girondins Goupilleau gouvernement Gustave LAURENT Henry POULET historiens historique homme j'ai Jacobins Javogues juge l'an l'Assemblée l'Etat l'histoire législation Lenôtre Léon DUBREUIL lettre liberté livres Louis Maignet Maurice DOMMANGET Maximilien Robespierre membres ment Merlin messidor ministre Montagnards Montagne Montesquieu municipalité Nancy nationale numéro patriotes peuple pluviôse politique prairial premier professeur raison Reims représentants républicains République Révolution française Revue Robespierre Saint-Just Salut public séance section sera seulement sociale Société populaire Sûreté générale suspects Talon Terreur Terreur blanche terroristes tion tribunal Vaucl vendémiaire ventôse Veymerange XVIIIe siècle
Popular passages
Page 440 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 189 - ... est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître; il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 440 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 178 - L'opulence est dans les mains d'un assez grand nombre d'ennemis de la Révolution; les besoins mettent le peuple qui travaille dans ladépendance de ses ennemis.
Page 437 - Il ne peut préjudicier ni à la sûreté, ni à la liberté, ni à l'existence, ni à la propriété de nos semblables.
Page 441 - Elle renonce solennellement à réunir à son territoire des contrées étrangères, sinon d'après le vœu librement émis de la majorité des habitants, et dans le cas seulement où les contrées qui solliciteront cette réunion, ne seront pas incorporées et unies à une autre nation, en vertu d'un pacte social, exprimé dans une constitution antérieure et librement consentie.
Page 440 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 338 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu, sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 179 - La Révolution nous conduit à reconnaître ce principe, que celui qui s'est montré l'ennemi de son pays n'y peut être propriétaire.
Page 179 - Lorsque le Comité de Salut public aura reçu ces états, il fera un rapport sur les moyens d'indemniser tous les malheureux avec les biens des ennemis de la Révolution, selon le tableau que le Comité de Sûreté générale lui en aura présenté et qui sera rendu public.