La Petite Chouannerie: Ou Histoire D'un Collége Breton Sous L'empire |
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âmes armée armes arriva assez aurait Auray avaient avions baïonnettes balles bataillon Bignan blessés bleus bourgeois brave Bretagne Bretons bruit c'était Cadoudal camarades campagne canton Carnac cartouches catéchisme impérial cause champ de bataille chant chef chevalier de Margadel chouannerie cœur collège de Vannes combat commandement coup d'Auray d'élite dernier devant Dieu down on us drapeau écoliers enfants étions faisait Francheville fusils fût Gamber garnison gendarmes général Bigarré général Rousseau Georges Cadoudal guerre Guiscriff hommes impérial jeune joie jour jour-là l'Empire laisser lande Langourla Lemanach lieu Lorient Louis XVIII Madame de Staël main marche marins ment militaire Morbihan mort Muzillac n'avait n'était nuit officiers paroisse passer pauvre paysans peine pendant Plescop pleurs Ploërmel Pluvigner Pontivy porte pouvait premier presque prêtres qu'un Quiberon reste Rohu route s'était sainte sang sanglante serment seul soldats sorte Sulniac surtout tête Tiec tion tirailleurs troupes trouver venait venions victoire vieux chouans vint voix yeux
Popular passages
Page 192 - Des dieux que nous servons connais la différence: Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 284 - No fondest father's wisest care Can fashion so the infant heart, As those creative beams that dart, With all their hopes and fears, upon The cradle of a sleeping son. His startled eyes with wonder see A father near him on his knee, Who wishes all the while to trace The mother in his future face ; But 'tis to her alone uprise His wakening arms, to her those eyes Open with joy, and not surprise.
Page 108 - Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années...
Page 31 - Bliss was it in that dawn to be alive, But to be young was very heaven ! — Oh ! times, In which the meagre, stale, forbidding ways Of custom, law, and statute, took at once The attraction of a country in Romance...
Page 375 - Comme si, dans ces mois de sève et d'allégresse, Ils voulaient au soleil déployer leur jeunesse, Dans les prés lire Ovide, et, sous les buissons verts, Aux appels des oiseaux répondre par des vers.
Page 284 - Children are what the mothers are. No fondest father's wisest care Can fashion so the infant heart, As those creative beams that dart, With all their hopes and fears, upon The cradle of a sleeping son.
Page 164 - Soft resting on the cloud ; Although to human vision' The sight be disallowed ; They are to the Almighty What the rays are to the sun, An emanating essence From the great supernal One : They bend for prayer to listen, They weep to witness crimes ; They watch for holy moments— Good thoughts — repentant times ; They cheer the meek and humble, They heal the broken heart ; They teach the wavering spirit From earthly tics to part; Unseen they dwell among us, As when they watched below In spiritual...
Page 37 - BASES DE L'ENSEIGNEMENT DANS LES ÉCOLES DE L'UNIVERSITÉ. Art. 38. — Toutes les écoles de l'Université impériale prendront pour base de leur enseignement : 1° Les préceptes de la religion catholique; 2° La fidélité à l'empereur, à la monarchie impériale, dépositaire du bonheur des peuples, et à la dynastie napoléonienne, conservatrice de l'unité de la France et de toutes les idées libérales proclamées par les constitutions; 3°...
Page 385 - France and England ! on whose lofty crests The day-spring of the Future flows so free, Save where the cloud of your hostility Settles between, and holy light arrests, Shall Ye, first instruments of God's behests, But blunt each other ? Shall Barbarians see The two fair sisters of civility Turn a fierce wrath against each other's breasts...
Page 207 - Comme aux jours primitifs la race aux longs cheveux, Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Je veux! Nous avons un cœur franc pour détester les traîtres ! Nous adorons Jésus, le Dieu de nos ancêtres! Les chansons d'autrefois toujours nous les chantons : Oh! nous ne sommes pas les derniers des Bretons! Le vieux sang de tes fils coule encor dans nos veines, O terre de granit recouverte de chênes!