La crise française, 1912 explique 1925 |
Contents
3 | |
11 | |
17 | |
24 | |
43 | |
49 | |
56 | |
87 | |
105 | |
111 | |
122 | |
151 | |
157 | |
165 | |
181 | |
189 | |
196 | |
202 | |
209 | |
217 | |
225 | |
238 | |
247 | |
256 | |
270 | |
279 | |
293 | |
401 | |
409 | |
420 | |
430 | |
441 | |
450 | |
469 | |
478 | |
492 | |
503 | |
509 | |
515 | |
557 | |
606 | |
639 | |
652 | |
658 | |
679 | |
687 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
actuelle agents allemand antimilitaristes apaches avril Berlin Brest Caillaux cause Chambre chef cheminots chemins de fer chiffre Cité par L'Action citoyen commandant Compagnie de l'Ouest conseil conséquence considérable constater constitue crise cuirassés d'ailleurs décembre déclara défense nationale Delcassé député devant discipline drapeau dreadnoughts Dreyfus électorale étrangers évident fàcheux financiers flotte général André gouvernement grève Guerre Sociale Gustave Hervé Hervé hommes intérêts intérêts généraux janvier Jaurès Journal juillet juin L'Action française l'Affaire l'alcoolisme l'Allemagne l'armée L'Écho l'esprit l'État l'opinion L'Ouest-Éclair l'Ouest-État Liberté Maissin manifeste marine maritime Maroc matériel Matin ment Messimy mesure militaire Millerand millions ministre mobilisation moral nation naval navires novembre octobre officiers organisation outre-Rhin paix pangermaniste parlementaires pays personnel politiciens politique Pont-de-Buis poudreries poudres préfet préfet maritime principe propagande publics publique question raison réalité réforme régime Reichstag républicain République responsabilité résultats révolutionnaires Russie sabotage saboteurs scandale scoutisme septembre 1911 serait service seulement situation soldats syndicalistes tion Triple-Entente troupes vote
Popular passages
Page 196 - Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans .une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...
Page 269 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 198 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire , imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 197 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 198 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 197 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 197 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes...
Page 196 - ... corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs; afin que les actes du Pouvoir législatif et ceux du Pouvoir exécutif pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
Page 197 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 198 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne, doit être sévèrement réprimée par la loi.