Collection des mémoires relatifs à la Revolution française, Volume 21, Page 2 |
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Popular passages
Page 435 - La guerre ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du Roi, et sanctionné par lui.
Page 437 - Que la guerre qu'elle est forcée de soutenir n'est point une guerre de nation à nation , mais la juste défense d'un peuple libre contre l'injuste agression d'un roi; Que les Français ne confondront jamais leurs frères avec leurs véritables ennemis; qu'ils ne négligeront rien pour adoucir le fléau de la guerre, pour ménager et conserver les propriétés, et pour faire retomber sur ceux-là seuls qui se ligueront contre sa liberté tous les malheurs inséparables de...
Page 426 - Qu'on ne devait la déclaration de guerre qu'à des ministres soi-disant patriotes ; » 3° Qu'il avait mis tout en œuvre dans le temps pour empêcher la coalition des puissances , et qu'aujourd'hui , pour éloigner les armées de nos frontières , il n'y avait que les moyens généraux. » 4° Que, depuis son acceptation, il avait très scrupuleusement observé les lois de la constitution, mais que beaucoup d'autres gens travaillaient maintenant en sens contraire.
Page 422 - On ne doit plus le dissimuler, la conduite du pouvoir exécutif est la cause immédiate de tous les maux qui affligent la France et des dangers qui environnent le trône. On trompe le roi , si on cherche à lui persuader que des opinions exagérées, l'effervescence des clubs, les manœuvres de quelques agitateurs et des factions puissantes ont fait naître et entretiennent ces...
Page 436 - ... de maintenir cette Constitution , est devenu dépositaire de la dignité et de la sûreté de la nation française : » Je conclus à ce que , forte de la justice de...
Page 13 - La noblesse demanda que les principaux emplois fussent tous donnés exclusivement aux gentilshommes, qu'on interdît aux roturiers les arquebuses , les pistolets , et l'usage des chiens à moins qu'ils n'eussent les jarrets coupés. Elle demanda de plus que les roturiers payassent de nouveaux droits seigneuriaux aux gentilshommes possesseurs de fiefs; que l'on supprimât toutes les pensions accordées aux membres du tiers état, mais que les gentilshommes fussent...
Page 419 - Le roi me charge, Monsieur, de vous mander que son intention la plus formelle est que vous manifestiez ses sei-timens sur la révolution et sur la constitution française à la cour où vous résidez. Les ambassadeurs et ministres de France près toutes les cours de l'Europe...
Page 437 - L'assemblée nationale déclare que la nation française , fidèle aux principes consacrés par sa constitution, de n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple , ne prend les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance; que la guerre qu'elle est...
Page 257 - Dumouriez dit qu'il ne permettrait pas qu'on écrivît, au nom du conseil, au roi sur les affaires de sa conscience; qu'il pouvait prendre un iman, un rabbin, un papiste ou un calviniste pour la diriger, sans que personne eût le droit de s'en mêler (2).
Page 422 - ... par une révolution glorieuse, la révolution que les abus de l'ancien gouvernement auraient bientôt fait éclater , en causant peut-être la dissolution de l'empire ; enfin , elle fera le bonheur du roi : le soin de la justifier , de la défendre, et de la prendre pour règle de votre conduite , doit être votre premier devoir.