 | Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1828 - 566 pages
...cette assemblée : on a dit qu'il ne fallait pas que les prêtres fussent salariés par le trésor public. On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui me sont chères; car je ne connais d'autre bien que celui de l'univers, d'autre culte que celui dela justice et de la liberté; mais l'homme maltraité... | |
 | France. Convention nationale - France - 1828 - 570 pages
...cette assemblée : on a dit qu'il ne fallait pas que les prêtres fussent salariés par le trésor public. On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui me sont chères ; car je ne connais d'autre bien que celui de l'univers, d'autre culte que celui dela justice et de la liberté; mais l'homme maltraité... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1835 - 492 pages
...dans cette assemblée. On a dit qu'il ne fallait pas que les prêtres fussent salariés par le trésor public. On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui me sont chères; car je ne connais d'autre bien que celui de l'univers, d'autre culte que le culte de la Justice et de la Liberté ; mais l'homme... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Roux-Lavergne - France - 1835 - 488 pages
...qu'il ne fallait pas que les prêtres fussent salariés par le trésor public. On s'est appuyé snr des idées philosophiques qui me sont chères ; •car je ne connais d'autre bien que celui de l'univers, d'antre culte que le culte de la Justice et de la Liberté; mais l'homme... | |
 | Philippe Le Bas - France - 1842 - 870 pages
...époque, contre la proposition de dépouiller les prêtres de leur salaire. « On s'est appuyé, dit-il, sur des « idées philosophiques qui me sont » chères; car je ne connais d'autre « bien que celui de l'univers, d'autre « culte que celui de la justice et de la <•. liberté. Mais... | |
 | World history - 1842 - 874 pages
...époque, contre lu proposition de dépouiller les prêtres de leur salaire. • On s'est appuyé, dit-il, sur des • idées philosophiques qui me sont « chères ; car je ne connais d'autre « bien que celui de l'univers, d'autre « culte que celui de la justice et de la « liberté. Mais... | |
 | Lamartine - 1847 - 442 pages
...a jeté dans l'Assemblée une idée impru» dente. On a parlé de ne plus salarier les prêtres. » On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui...l'univers, d'autre culte que celui de la » justice et celui de la liberté. Mais l'homme mal» traité de la fortune cherche des jouissances idéales. »... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 430 pages
...l'Assemblée une idée imprudente. On a » parlé de ne plus salarier les prêtres. On s'est ap» puyé sur des idées philosophiques qui me sont » chères,...l'univers, d'autre culte que celui de la justice » et celui de la liberté. Mais l'homme maltraité de la » fortune cherche des jouissances idéales. Quand... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 596 pages
...a jeté dans l'Assemblée une idée « imprudente. On a parlé de ne plus salarier les prêtres. « On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui...chères, car je ne connais d'autre Dieu que celui de l'uni« vers, d'autre culte que celui de la justice et celui de la « liberté. Mais l'homme maltraité... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 420 pages
...l'Assemblée une idée imprudente. On a » parlé de ne plus salarier les prêtres. On s'est ap» puyé sur des idées philosophiques qui me sont » chères, car je ne connais d'autre Dieu que celu IV. 23 » de l'univers, d'autre culte que celui de la justice » et celui de la liberté. Mais... | |
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On a dit qu'il ne fallait pas que les prêtres fussent salariés par le trésor public. On s'est appuyé sur des idées philosophiques qui me sont chères; car je ne connais d'autre bien que celui de l'univers, d'autre culte que celui de la justice et... 
