Elle s'étoit mariée, n'étant plus jeune, au marquis de Montausier, qui l'avoit aimée quatorze ans ; et en se donnant à lui, il sembla qu'elle étoit plus touchée des obligations qu'elle lui avoit, et de son mérite, que du désir de se marier. Mémoires - Page 156by Anne-Marie-Louise d'Orléans Montpensier (duchesse de) - 1824Full view - About this book
| Bibliography - 1730 - 508 pages
...elle ., defiroit l'approbation générale, & plus ar,, demment encore de ceux qui avoieutducre„ dit; car naturellement elle avoit de l'âpreté „ pour tout ce qui s'appelle la faveur. Elle „ s'ctoit mariée, n'étant plus jeune, auMar„ quis deMofttaufier,q\ii l'avoit aimée quator„... | |
| Claude Bernard Petitot, Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué - France - 1824 - 496 pages
...l'amitié particulière. Cette dame ne haïssoit pas la cour; elle désiroit l'approbation générale , et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit...touchée des obligations qu'elle lui avoit , et de sou mérite , que du désir de se marier. On vit donc cette dame, dans la place que 1e Roi lui avoit... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1852 - 818 pages
...gouvernante du Dauphin : • Cette dame ne haîssoit pas la cour. Elle desiroit l'approbation générale, et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit, car naturellement elle avoit de l'apreté pour tout ce qui s'appelle la faveur. » En 166/1, madame de Montausier ne fit pas difficulté... | |
| Victor Cousin - France - 1854 - 524 pages
...en ces termes 2 : « Cette dame ne haïssoit pas la cour. Elle désiroit l'approbation générale, et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit, car naturellement elle avait de Fapreté pour tout ce qui s'appelle la faveur. » En 1664, M me de Montausier ne fit pas difficulté... | |
| Françoise de Motteville - France - 1855 - 498 pages
...l'amitié particulière. Cette dame ne haïssoit pas la cour; elle désiroit l'approbation générale, et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit...Montausier, qui l'avoit aimée quatorze ans; et en sedonnant à lui, il sembla qu'elle étoit plus touchée des obligations qu'elle lui avoit, et de son... | |
| Amédée Roux - France - 1860 - 310 pages
...M"10 de Motteville : «Cette dame ne haïssoit pas la cour. Elle dcsiroit l'approbation générale , et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit,...de l'âpreté pour tout ce qui s'appelle la faveur Il est aisé de juger qu'elle devoit eslre agréable au roy, non-seulement parce qu'elle avoit de belles... | |
| Amédée Roux - France - 1860 - 308 pages
...Mm" de Motteville : «Cette dame ne haïssoit pas la cour. Elle désiroit l'approbation générale , et plus ardemment encore de ceux qui avoient du crédit, car naturellement elle avoit lu iDi^u: TK-°ur tout ce qui t'appelle la fayeur X :-°. nia: : .--tr qu'elle de toit cslre agréable... | |
| Amédée Roux - France - 1860 - 304 pages
...la cour. Elle désiroit l'approbation générale , et plus ardemment encore de ceux qui avoient-du crédit, car naturellement elle avoit • de l'âpreté pour tout ce qui s'appelle la faveur Il est aisé de juger qu'elle devoit eslre agréable au roy, non-seulement parce qu'elle avoit de belles... | |
| Amédée Roux - France - 1860 - 310 pages
...Elle désiroit l'approbation générale , et plus ardemment encore de ceux qui avoient du cfédit, car naturellement elle avoit de l'âpreté pour tout ce qui s'appelle la faveur Il est aisé de juger qu'elle devoit-eslre agréable au roy, non-seulement parce qu'elle avoit de belles... | |
| Julie Lucine de Sainte-Maure (duchesse de Montausier.) - 1875 - 218 pages
...avait alors trente-huit ans. « Elle s'étoit mariée (dit madame de Motteville dans ses Mémoires), n'étant plus jeune, au marquis de Montausier, qui...l'avoit aimée quatorze ans, et en se donnant à lui, il lui sembla qu'elle étoit plus touchée des obligations qu'elle lui avoit et de son mérite que du... | |
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