 Il passait les jours et les nuits dans une continuelle léthargie, les yeux bien ouverts, le pouls bien battant, mais sans parler, sans manger, sans bouger, paraissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais, pas même par signe, et du reste sans...  La révolution - Page 302by Arsène Houssaye - 1891 - 359 pagesFull view - About this book
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...manger, sans bouger , paroissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais, pas même par signe, et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre...sa garde: l'abbé, plus robuste et mieux portant, y passoit les nuits, moi les jours , sans le quitter jamais ensemble, et l'un ne partoit jamais que l'autre... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
...manger, sans bouger, paroissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais, pas même par signe , et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre...garde : l'abbé , plus robuste et mieux portant, y passoit les nuits, moi les jours , sans le quitter jamais ensemble, et l'un ne partoit jamais que l'autre... | |
 | Étienne de Jouy - 1818 - 682 pages
...sans bouger , paraissant quelquefois entendre , mais ne répondant jamais, pas même par signe , et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre,...nuits, moi les jours , sans le quitter jamais ensemble. Le comte de Friese , alarmé, lui amena Scuac, qui, après l'avoir bien examiné, dit que ce ne serait... | |
 | Étienne Aignan, Benjamin Constant, Évariste Dumoulin, Charles Guillaume Etienne, Antoine Jay, Étienne de Jouy, Pierre-Louis de Lacretelle, Pierre-François Tissot - France - 1818 - 656 pages
...sans bouger , paraissant quelquefois entendre , mais ne répondant jamais, pas même par signe , et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre,...l'abbé , plus robuste et mieux portant , y passait les uuits , moi les jours , sans le quitter jamais ensemble. Le comte de Friese , alarmé, lui amena Senac,... | |
 | Étienne Aignan, Benjamin Constant, Évariste Dumoulin, Charles Guillaume Etienne, Antoine Jay, Étienne de Jouy, Pierre-Louis de Lacretelle, Pierre-François Tissot - France - 1818 - 646 pages
...sans bouger , paraissant quelquefois entendre , mais ne répondant jamais , pas même par signes, et du reste sans agitation , sans douleur , sans fièvre...et restant là comme s'il eût été mort. L'abbé Kaynal et moi nous partageâmes sa garde ; l'abbé, plus robuste et mieux portant, y passait les nuits,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...manger, sans bouger, paroissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais , pas même par signe, et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre,...sa garde; l'abbé, plus robuste et mieux portant, y passoit les nuits, moi les jours, sans le quitter jamais ensemble; et l'un ne partoit jamais que l'autre... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1827 - 500 pages
...manger, sans bouger, paroissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais, pas même par signe, et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre...et restant là comme s'il eût été mort. L'abbé Rayual et moi nous partageâmes sa garde; l'abbé, plus robuste et mieux portant, y passoit les nuits,... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 pages
...manger, sans bouger, paroissant quelquefois entendre, mais ne répondant jamais, pas même par signe, et du reste sans agitation, sans douleur, sans fièvre , et restant là comme s'il eût été mort. PARTIE II, LIVRE VIII. (1760 — 1762) I/J5 L'abbé Raynal et moi nous partageâmes sa garde; l'abbé,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...sans bouger, paraissant, quelquefois entendre, mais ne répondant jamais , pas même par signe, et du reste sans agitation , sans douleur, sans fièvre,...garde ; l'abbé, plus robuste et mieux portant, y passoil les nuits, moi les jours, sans le quitter jamais ensemble ; et l'un ne par toit jamais que... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...répondant jam.iis , pas mémo •par signe, et du reste sans agitation, sans douleur, sans lièvre, et restant là comme s'il eût été mort. L'abbé Raynal et moi nous partageâmes sa garde : l'ahbé, plus robuste et mieux portant, y passait les nuits, moi les jours, sans le quitter jamais... | |
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