Bulletin mensuel de la société polymathique du Morbihan, Vannes |
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anciens années août appelé archéologique archidiacre avaient avant avril bénéfices Bretagne Bulletin canonicat cathédrale Caumartin chanoine chapelle Chapitre charge clerc CLOSMADEUC coffret commencement commune conseiller conservation côté cour décembre découvert dernier devait docteur donner ecclésiastique enfin enterré époque États États de Bretagne étude évêque évêque de Vannes faveur février fils forme FOUQUET François Guillaume histoire janvier Jean jour juillet juin jusqu'à l'abbé l'année l'autre l'église l'histoire l'un lettres lieu livres longue Louis mains mars membres Mémoires mois Morbihan mort mourut Musée n'était Nantes naturelle nombre nombreux nommé novembre objets observations octobre Pape Parlement paroisse passe pendant père Pierre place pont porte pourvu par l'Évêque pouvait premier présentation Président prêtre du diocèse prit possession qu'un question Rapport recteur Rennes résigna reste Rome saint sciences seconde seigneur septembre serait seul siècle siége sieur Société polymathique suivant titre titulaire trouvé Vannes Vennes vicaire vicaire général voie
Popular passages
Page 148 - Disons plus : il n'est point d'âme livrée au vice Où l'on ne trouve encor des traces de justice. Chacun de l'équité ne fait pas son flambeau ; Tout n'est pas Caumartin, Bignon ni d'Aguesseau.
Page 149 - Son père, aussi conseiller d'État, avoit été l'ami le plus confident et le conseil du cardinal de Retz. Le fils, dès sa première jeunesse, s'étoit mis par là dans les compagnies les plus choisies et les plus à la mode de ces temps-là.
Page 149 - Il n'avoit jamais lu que la plume ou un crayon à la main; il avoit infiniment lu, et n'avoit jamais rien oublié de ce qu'il avoit lu, jusqu'à en citer le livre et la page. Son père, aussi conseiller d'Etat, avoit été l'ami le plus confident et le conseil du cardinal de Retz.
Page 80 - Mémoires de la Société des sciences naturelles et historiques des lettres et des beaux-arts de Cannes et de l'arrondissement de Grasse.
Page 146 - Cour, et les inconvénients que l'on trouvait avec les princes, et il employait fort habilement la maxime qui ordonne de faire voir à ceux qui sont naturellement faibles , toutes sortes d'abîmes : parce que c'est le vrai moyen de les obliger à se jeter dans le premier chemin qu'on leur ouvre. M. de Bellièvre...
Page 148 - ... permettre ; et au fond honnête homme, fort instruit dans son métier de magistrature et dans celui de finance, avec beaucoup d'esprit, et d'un esprit accort, gai, agréable.
Page 146 - ... les princes, par une dernière déclaration qui, n'.étant point pour la liberté, ne m'engageoit à rien dans les suites. Je communiquai cette pensée à madame de Lesdiguières, à madame la palatine, à madame de Chevreuse, à Viole, à Arnauld, à Croissy, au président de Bellièvre et à Caumartin.
Page 28 - Bretagne, une lettre qui m'a esté communiquée, dans laquelle t j'ai trouvé que je pouvois prononcer avec assurance que les Sept Saints » n'estoient autres que ceux-là, et qu'on voit encore dans l'église de Quimper, » au costé méridional de la porte du chœur, un ancien Autel dédié aux Sept...
Page 149 - Cette chaste couleur, cette divine flamme, Au travers de ses yeux découvre sa belle âme , Et l'on voit cet éclat qui reluit au dehors , Comme un rayon d'esprit qui s'épand sur le corps. Telle Fléchier nous dépeint et nous montre à l'avance la seconde...
Page 146 - ... inspirer. Monsieur faisoit en toutes choses comme font la plupart des hommes quand ils se baignent : ils ferment les yeux en se jetant dans l'eau. Caumartin , qui connoissoit l'humeur de Monsieur, me conseilla de les lui tenir toujours ouverts par des peurs modérées, mais successives.