L'Esprit des journaux françois et étrangers, Volumes 1-21792 |
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... avoient mis en état d'équi- per un vaiffeau à fes frais . L'objet de ses cour- fes continuelles étoit de fe procurer la connoif- fance la plus exacte & la plus détaillée des cô- tes d'Angleterre , & en général de la mer du Nord ...
... avoient mis en état d'équi- per un vaiffeau à fes frais . L'objet de ses cour- fes continuelles étoit de fe procurer la connoif- fance la plus exacte & la plus détaillée des cô- tes d'Angleterre , & en général de la mer du Nord ...
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... avoient confisqué . A peine la guerre étoit - elle rallumée en 1755 , que les armateurs fe difputoient à qui confieroit des bâtimens au brave Thurot . Celui qu'il com- manda devint bientôt un des plus redoutables de la marine marchande ...
... avoient confisqué . A peine la guerre étoit - elle rallumée en 1755 , que les armateurs fe difputoient à qui confieroit des bâtimens au brave Thurot . Celui qu'il com- manda devint bientôt un des plus redoutables de la marine marchande ...
Page 14
... avoient des vues tout - à - fait diffé- rentes . On perdit en débats & en délais un tems précieux , à Carrikfergus , où l'on étoit débarqué . Les Anglois eurent le tems de raffembler une efcadre fupérieure en canons & en hommes ...
... avoient des vues tout - à - fait diffé- rentes . On perdit en débats & en délais un tems précieux , à Carrikfergus , où l'on étoit débarqué . Les Anglois eurent le tems de raffembler une efcadre fupérieure en canons & en hommes ...
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... avoient d'abord porté le nom de Cephenes , & fur quelques conjectures des plus hardies , M. Ditmar établit , comme une certitude , que les Chaldéens & les anciens Perfes font une même nation . Et bientôt ces peuples font trans- formés ...
... avoient d'abord porté le nom de Cephenes , & fur quelques conjectures des plus hardies , M. Ditmar établit , comme une certitude , que les Chaldéens & les anciens Perfes font une même nation . Et bientôt ces peuples font trans- formés ...
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... avoient tous les deux , à leur disposi- tion , un langage expreffif , capable de joindre la plus grande force à la plus douce aifance , & fi M. Pope cede à fon rival dans ce point , c'eft parce que dans une langue infiniment plus ver ...
... avoient tous les deux , à leur disposi- tion , un langage expreffif , capable de joindre la plus grande force à la plus douce aifance , & fi M. Pope cede à fon rival dans ce point , c'eft parce que dans une langue infiniment plus ver ...
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Common terms and phrases
adreffe affez affurer ainfi Alcime anglois auffi auroit avoient avoit befoin c'eft C'eſt Camoens caufe ceffe chaux chofes circonftances claffe compofé conféquence conferver confidération conftitution connoiffance connoître coptique défirer deftination déja derniere difcours différens diftinguer doit donner effentiel efpece efprit enfuite eſt étoient étoit fage fans doute fanté favant favoir fciences feconde fecours fecret femble fentiment fera feroit fervice fervir feul fiecle fimple fituation fociété foient foin foit fommes font fouliers fous foutenir fouvent François fuccès fuivant fujet fur-tout Henri IV hommes ifles intéreffant Journal encyclopédique jufqu'à l'auteur l'efprit l'ennemi laiffer loix long-tems lorfque lumieres Madagaſcar maniere mefures ment meſure miniftre n'eft néceffaire obfervations ouvrage paffage paffe paroît particuliere perfonne peuple philofophie plaifir plufieurs Plutarque poffible pofte pourroit préfente prefque premiere profeffeur propofe puiffe raifon refte rivieres s'eft ſes Spartianus Suede tems terrein théatre Thurot tion toyens troupes ufage vaiffeaux
Popular passages
Page 207 - Français, qui n'avez cessé de publier votre attachement pour votre roi, c'est lui qui vous rappelle dans votre patrie ; il vous promet la tranquillité et la sûreté au nom de la loi, dont l'exécution suprême lui appartient ; il vous les garantit au nom de la nation avec laquelle il est inséparablement...
Page 77 - Foye^ l'expérience neuvième. De tout ce que je viens de dire , je crois être en droit de conclure que , comme il n'ya point de vin qui ne contienne d'acide tartareux , le moyen que je propol'e, pour...
Page 187 - Dès ce moment , vous penfez bien que je nie propofai de négliger la danfe. Et le chant , lui demandai - je avec un peu d'émotion ? Le chant, dit -il, eft donné par la.
Page 230 - J'écris à l'empereur pour l'engager à continuer ses bons offices, et, s'il le faut, à déployer son autorité, comme chef de l'empire, pour éloigner les malheurs que ne manquerait pas d'entraîner une plus longue obstination de quelques membres du corps germanique. Sans doute, on peut beaucoup attendre de son intervention...
Page 208 - ... être occupés. Votre conduite depuis ce temps, devant me faire croire que mes intentions réelles ne vous sont pas bien connues, j'ai cru devoir, à vous et à moi, de vous en donner l'assurance de ma propre main.
Page 210 - ... servir en tenant la France entière dans une inquiétude et une agitation qui font le tourment de ma vie. La révolution est finie, la constitution est achevée. La France la veut, je la maintiendrai; c'est de son affermissement que dépend aujourd'hui le salut de la monarchie. La constitution vous a donné des droits, elle ya mis une condition que vous devez vous hâter de remplir. Croyez-moi, mon frère, repoussez les doutes qu'on voudrait vous donner sur ma liberté. Je vais prouver, par un...
Page 100 - La première de toutes les qualités est la VALEUR, sans laquelle je fais peu de cas des autres, parce qu'elles deviennent inutiles. La seconde est I'ESPRIT : il doit être courageux et fertile en expédients. La troisième est la SANTÉ.
Page 209 - Si les nouvelles lois exigent des changemens j'attendrai que le temps et la réflexion les sollicitent; je suis déterminé à n'en provoquer et à n'en souffrir aucun par des moyens contraires à la tranquillité publique et à la loi que j'ai acceptée.
Page 275 - Les chofes étoient au point que l'état devoit beaucoup plut qu'il n'avoit emprunté. Car , parmi les créanciers, les uns n'avoient prêté qu'une partie de la fomme , qu'ils prétendoient leur être due ; & d'autres n'avoient rien prêté. Chacun profitant de la licence des tems , fe portoit pour créancier fur de faux titres ou fur les plus légères prétentions.
Page 14 - Il eff honteux de voir dans le » fein de la France des hommes jaloux du vrai » mérite , chercher à ternir l'éclat de la gloire » du célèbre capitaine; Thurot , dont les Anglois » même ont admiré les exploits. « II n'étoit pas moins honteux que le gouvernetneni laiffat dans l'indigence un frère & une fille de cet excellent citoyen , qui avoit li bie» mérité de fa patrie , & qui n'avoit rien lailfé après lui que fon nom.