Histoire de France depuis 1799 jusqu'en 1812, Volume 4Ve C. Bechet; Firmm Didot frères, 1830 |
Common terms and phrases
alliés amiral anglais armée armistice autrichien avaient baron d'Hardenberg bataille bataille d'Austerlitz bataille de Trafalgar bavarois Bavière Berlin Bernadotte blessés Boulogne britannique C'était cabinet autrichien çais cavalerie chef Cobenzl combat commandant comte continent corps cour de Vienne couronnement d'Italie d'Ulm Danube déclaration déja devait Diernstein division drapeaux Empereur ennemis escadres États eût Ferrol forces fran Gantheaume gloire gouvernement guerre Guntzbourg Hanovre Hollande impériale jour Kutusof l'ambassadeur l'amiral Villeneuve l'Angleterre l'ar l'archiduc Charles l'armée française l'Autriche l'égard l'électeur l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Allemagne l'Empereur Napoléon l'empire l'ennemi l'escadre l'Europe laisser Lannes léon lettre maréchal Davoust maréchal Ney maréchal Soult Marmont Masséna mée ment militaire mille hommes ministre Murat n'avait n'était Napo Napoléon négociation neutralité Nowosilsof octobre ordres paix pereur Pétersbourg poléon politique porter position prince proclamation Prusse puissance république ligurienne reur Russie s'était Saint-Père serait seul soldats Suède Talleyrand territoire tion traité troupes Tyrol vaisseaux
Popular passages
Page 184 - Que veut-elle espérer de la guerre? Coaliser quelques puissances du continent? Le continent restera tranquille; une coalition ne ferait qu'accroître la prépondérance et la grandeur continentale de la France. Renouveler des troubles intérieurs?
Page 144 - de maintenir l'intégrité du territoire de la République, de « respecter et de faire respecter les lois du concordat et la « liberté des cultes ; de respecter et faire respecter l'égalité « des droits, la liberté politique et civile, l'irrévocabilitô des « ventes des biens nationaux...
Page 441 - Les positions que nous occupons sont formidables; et, pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite, ils me présenteront le flanc. Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons; je me tiendrai loin du feu, si, avec votre bravoure accoutumée...
Page 360 - ... injustes agresseurs. Nous ne ferons plus de paix sans garantie ; notre générosité ne trompera plus notre politique. » Soldats, votre Empereur est au milieu de vous. Vous n'êtes que l'avant-garde du grand peuple...
Page 184 - Je n'attache point de déshonneur à faire le premier pas : j'ai assez, je pense, prouvé au monde que je ne redoute aucune des chances de la guerre; elle ne m'offre d'ailleurs rien que je doive redouter.
Page 150 - ... offrirent à la fureur révolutionnaire, ou à la soif et à la jalousie des tyrans; invoquant les mânes du jeune héros que des mains impies viennent de ravir à la patrie et à la gloire *, offrant à nos peuples, comme gage de réconciliation, les vertus de l'ange consolateur que la Providence , pour nous donner un grand exemple, a voulu attacher à de nouvelles adversités, en l'arrachant aux bourreaux et aux fers ; nous le jurons! jamais on ne nous verra rompre le nœud sacré qui unit...
Page 144 - ... d'honneur; de gouverner dans la •< seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple
Page 205 - Je la garderai cette couronne, mais seulement tout le temps que vos intérêts l'exigeront ; et je verrai avec plaisir arriver le moment où je pourrai la placer sur une plus jeune tête qui, animée de mon esprit , continue mon ouvrage , et soit toujours prête à sacrifier sa personne et ses intérêts à la sûreté...
Page 205 - Les statuts de Lyon remirent la souveraineté entre les mains de la Consulte et des collèges, où nous avions réuni les différens élémens qui constituent les nations. » Vous crûtes alors nécessaire à vos intérêts que nous fussions le chef de votre gouvernement ; et aujourd'hui , persistant dans la même pensée , vous voulez que nous soyons le premier de vos rois. La séparation des couronnes de France et d'Italie , qui peut être utile pour assurer l'indépendance de vos descendans ,...
Page 458 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :