Histoire des Français, Volume 16Wouters, frères, 1847 |
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Common terms and phrases
Alberoni alliés Anglais août armée attaquer Autrichiens avaient avoit bataille Bavière Belle-Isle Berwick bientôt Botta c'était camisards campagne cardinal de Fleury cardinal de Noailles Charles Charles III commandait comte conseil de régence cour Coxe croyait d'Espagne dauphin déclara devait donner Dubois duc d'Orléans duc de Bourbon duc du Maine duchesse Duclos Élisabeth Farnèse ennemis Espagne Espagnols étoit faisait Felipe Flassan française Frédéric général gouvernement guerre Hanovre Hist Hode Hollande Ibid jansénistes l'Angleterre l'armée l'électeur l'Empereur l'Europe l'Italie Lacretelle laisser Lamberty Lemontey longtemps Lord Mahon Louis XIV Madrid Maintenon maison d'Autriche maréchal Marie-Thérèse Marlborough Mém mille hommes ministre mort n'avait n'était négociations Noailles paix passer Pays-Bas peuple Philippe Piémontais pouvait prétendant prince Eugène princesse des Ursins Prusse régent reine Rhin Richelieu royaume s'était Saint-Simon Sardaigne Saxe secrets septembre seulement soldats Soulavie Storia d'Italia succession Torcy traité trône troupes Vendôme Villars Villeroi Voltaire voulait
Popular passages
Page 463 - Excellence que votre cour ne me rend pas justice. Bien des gens savent combien j'ai été opposé aux résolutions que nous avons prises , et que j'ai été en quelque façon forcé d'y consentir, par des motifs...
Page 301 - La Vrillière, transporté d'aise de sa prompte politique, avoit en poche le serment de premier ministre copié sur celui de M. le duc d'Orléans, et proposa tout haut à Fréjus de le faire prêter surle-champ. Fréjus le dit au roi comme chose convenable, et à l'instant M.
Page 461 - Versailles lui faisaient même porter ses vues plus loin. On a vu de tout temps l'esprit de la cour d'Autriche suivre les impressions brutes de la nature ; enflée dans la bonne fortune et rampante dans l'adversité, elle n'a jamais pu parvenir à cette sage modération qui rend les hommes impassibles à l'égard des biens et des maux que; le hasard dispense. Alors son orgueil et son astuce reprenaient le dessus. Le mauvais succès de...
Page 513 - Le danger du roi se répand dans Paris au milieu de la nuit: on se lève, tout le monde court en tumulte sans savoir où l'on va. Les églises s'ouvrent en pleine nuit: on ne connaît plus le temps ni du sommeil, ni de la veille, ni du repas.
Page 513 - Le courrier qui apporta, le 19, à Paris la nouvelle de sa convalescence fut embrassé et presque étouffé par le peuple : on baisait son cheval ; on le menait en triomphe. Toutes les rues retentissaient d'un cri de joie :
Page 79 - M. le duc d'Orléans, je ne sais pas ce qu'a fait la mère, mais pour le fils, il n'a garde d'être janséniste, et je vous en réponds; car il ne croit pas en Dieu. — Est-il possible, mon neveu ? répliqua le Roi en se radoucissant. — Rien de plus certain, Sire, reprit M. d'Orléans; je puis vous en assurer. — Puisque cela est, dit le Roi, il n'ya point de mal, vous pouvez le mener*.
Page 166 - Mon enfant, vous allez être un grand roi; ne m'imitez pas dans le goût que j'ai eu pour les bâtiments, ni dans celui que j'ai eu pour la guerre; tâchez, au contraire, d'avoir la paix avec vos voisins.
Page 164 - Elle voulut parler et se défendre des reproches qu'elle recevait ; la reine redoublant de furie et de menaces se mit à crier qu'on fît sortir cette folle de sa présence et de son logis, et l'en fit mettre dehors par les épaules.
Page 122 - ... tant de discernement, de grâces, de gentillesse, de politesse, de noblesse, tant d'art caché coulant comme de source. Personne aussi n'a jamais...
Page 307 - ... à son égard un mot vide de sens , elle était simple dans le vice; violente sous un air de douceur, libertine par tempérament ; elle trompait avec impunité son amant, qui croyait ce qu'elle lui disait contre ce qu'il voyait lui-même.