Guizot collection of pamphlets, Volume 391815 - France |
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... premier despotisme . Ainsi ce ne sont plus ceux qui enfreignent les lois dont l'exécution leur est confiée qui sont cou- pables , ce sont ceux qui se plaignent de l'infrac- tion avouée ; ce ne sont pas ceux qui oppriment , mais ceux qui ...
... premier despotisme . Ainsi ce ne sont plus ceux qui enfreignent les lois dont l'exécution leur est confiée qui sont cou- pables , ce sont ceux qui se plaignent de l'infrac- tion avouée ; ce ne sont pas ceux qui oppriment , mais ceux qui ...
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... premier , lorsqu'il pou- vait y avoir quelque courage à le faire , lorsqu'il pouvait être utile au Gouvernement que cela fût fait , que je me serais rendu coupable ? Certes , ce n'est pas cette Brochure qui a tiré Napoléon de son ile ...
... premier , lorsqu'il pou- vait y avoir quelque courage à le faire , lorsqu'il pouvait être utile au Gouvernement que cela fût fait , que je me serais rendu coupable ? Certes , ce n'est pas cette Brochure qui a tiré Napoléon de son ile ...
Page 36
... , et » que tout le temps que durera leur service leur soit » compté comme s'ils eussent suivi les écoles . » ( 2 ) L'Ordonnance du11 mars 1815 , après avoir convoqué que dans tous les pays du monde le premier acte ( 36 )
... , et » que tout le temps que durera leur service leur soit » compté comme s'ils eussent suivi les écoles . » ( 2 ) L'Ordonnance du11 mars 1815 , après avoir convoqué que dans tous les pays du monde le premier acte ( 36 )
Page 37
que dans tous les pays du monde le premier acte de civisme fut toujours d'affranchir des ennemis du dehors le sol de sa patrie ? On m'impute d'être encore l'auteur des as- sociations connues sous le nom de fédérations . Je réponds , 1 ...
que dans tous les pays du monde le premier acte de civisme fut toujours d'affranchir des ennemis du dehors le sol de sa patrie ? On m'impute d'être encore l'auteur des as- sociations connues sous le nom de fédérations . Je réponds , 1 ...
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... premier revers . Mais nous étions loin de pouvoir nous détacher d'une partie de nos forces , et c'eût été une grande imprudence de nous éloigner du point qu'il fallait couvrir avant tout . L'ennemi , comme je l'ai déjà dit , avait ...
... premier revers . Mais nous étions loin de pouvoir nous détacher d'une partie de nos forces , et c'eût été une grande imprudence de nous éloigner du point qu'il fallait couvrir avant tout . L'ennemi , comme je l'ai déjà dit , avait ...
Common terms and phrases
adressé affaires agens anglais Aranjuez aurait avaient avez avoit Bayonne Blacas Bonaparte Bourbons calomnie cause Cevallos Charles Charles IV chef choses circonstances citoyen comité royal comte conduite confiance conseil conseiller d'état crime déclaration demande desire dévouement dire donner Draguignan duc de San-Carlos écrit ennemis Espagne Espagnols étoit eût Fauche Borel Ferdinand VII fidélité force Forest général Godoy gouvernement guerre hommes intérêts J'ai l'honneur j'avais jamais jour journaux Juan Escoiquiz juger junte justice l'armée l'empereur l'Espagne légitime liberté long-temps Louis XVIII Madrid Majesté malheureux Manuel Godoy maréchal mars Marseille ment militaire ministre Miollis Monseigneur Monsieur moyens n'ai Napoléon nation nationale neveu ordres Paix passer patrie personne peuple pièces politique pouvait pouvoir Pradt préfet de police prince projet Prusse Queue de Robespierre reste révolution rien Robespierre secret serait seul sieur Méhée sieur Perlet Signé PERLET sire Sisteron soupçons souverain tion trône troupes trouver vérité Veyrat Vitel zèle
Popular passages
Page 8 - Non , ce sont ceux qui ont pris les armes contre leur mère-patrie; c'est vousmêmes, les antres l'ont votée comme juges constitués par la nation , et qui ne doivent compte à personne de leur jugement. S'ils se sont trompés, ils sont dans le même cas que tous les autres juges qui se trompent : ils se sont trompés avec la nation entière qui a provoqué le jugement, qui ya ensuite adhéré par des milliers d'adresses venues des communes ; ils se sont trompés avec toutes les nations de l'Europe...
Page 85 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 82 - Le roi a dit dans ses déclarations précédentes, et il réitère « l'assurance, -que les corps administratifs et judiciaires seront « maintenus dans la plénitude de leurs attributions ; qu'il conservera « leurs places à ceux qui en...
Page 19 - ... paternellement. J'ai cru que les alliés ne voudraient pas rapporter la désolation dans un pays dont le vœu était si fortement prononcé pour la tranquillité de l'Europe. La persuasion générale était que l'Empereur n'avait pu quitter l'Ile d'Elbe qu'avec l'assentiment d'une partie des membres du congrès de Vienne, et que, sous peu de jours, nous reverrions l'Impératrice et son fils. On ne doutait pas que les puissances ne nous laissassent, comme elles l'avaient tant de fois protesté,...
Page 83 - Royale d'agréer les plus vives et les plus sincères actions de grâces pour les félicitations qu'elle vient de m'adresser. Je lui en rends de particulières pour les attentions soutenues dont j'ai été l'objet, tant de la part de Votre Altesse Royale que de celle de chacun des membres de votre illustre maison.
Page 35 - ... tout ce qu'il voit, tout ce qu'il entend, renouvelle sa douleur. Ce sentiment rend notre situation vague et pénible : chacun cherche à se dissimuler la plaie qu'il sent exister au fond de son cœur ; on se regarde comme humilié, malgré vingt ans de triomphes continus, pour avoir perdu une seule partie, qui malheureusement était la partie d'honneur et qui a fait la règle de nos destinées.
Page 31 - ... ou Anglais, ou enfin qu'étant resté en France, vous n'avez sollicité des places auprès des gouvernements éphémères qui ont précédé la Restauration, qu'afin de les mieux trahir et de les faire plus tôt succomber. Alors, votre fidélité sera portée aux nues ; vous recevrez de tendres félicitations, des décorations, des réponses affectueuses de toute la famille royale...
Page 31 - ... mon mémoire, que je le supplie de vouloir bien lire lui-même. Le roi prend mon mémoire, le garde, et m'adresse ces paroles : Oui, Louis, oui, mon cher Louis, je le lirai moi-même. Les paroles que Sa Majesté venait de m'adresser ne furent pas totalement perdues pour ma cause. Des pièces parvinrent à mon rapporteur , et notamment nombre de mémoires...
Page 17 - Laissons la dureté et la cruauté à ceux qui croient en avoir besoin pour contenir un peuple qu'ils ont opprimé par la force. Pour ceux qui vivent dans un état libre, ils ne sauraient rien faire de plus insensé que de se comporter d'une manière à se faire craindre: car, quoique les lois soient comme ensevelies sous la puissance d'un particulier, et que la liberté soit resserrée par la crainte, elles se relèvent quelquefois, et parce que les peuples font entrevoir.
Page 129 - II s'impute à péché la moindre bagatelle ; Un rien presque suffit pour le scandaliser; Jusque-là qu'il se vint, l'autre jour, accuser D'avoir pris une puce en faisant sa prière, Et de l'avoir tuée avec trop de colère.