Le méchant |
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Page 16
... fort clairs . DORANT E. D'où naîtroient donc vos feux ? DAMIS . De son goût pour les vers . DORANTE , bas . De son goût pour les vers ! mon infortune est sûre : Mais n'importe : feignons et poussons l'aventure . DAMIS . Qu'est - ce donc ...
... fort clairs . DORANT E. D'où naîtroient donc vos feux ? DAMIS . De son goût pour les vers . DORANTE , bas . De son goût pour les vers ! mon infortune est sûre : Mais n'importe : feignons et poussons l'aventure . DAMIS . Qu'est - ce donc ...
Page 17
... fort , sans sa muse funeste Dont le poison n.audit nous glace et nous empeste . Heureux quand mon esprit vole à sa région , S'il n'y porte pas l'air de la contagion ! Le voici . Tout le corps me frissonne à l'approche Du griffonnage ...
... fort , sans sa muse funeste Dont le poison n.audit nous glace et nous empeste . Heureux quand mon esprit vole à sa région , S'il n'y porte pas l'air de la contagion ! Le voici . Tout le corps me frissonne à l'approche Du griffonnage ...
Page 23
... Fort bien . Sans croire , sans vouloir que vous en sachiez rien . DAMIS . Pourquoi donc me le dire ? MONDOR . Ah ! quelle indifférence ! Et rien est - il pour vous de plus de conséquence ? Un oncle riche et vieux , dont votre sort ...
... Fort bien . Sans croire , sans vouloir que vous en sachiez rien . DAMIS . Pourquoi donc me le dire ? MONDOR . Ah ! quelle indifférence ! Et rien est - il pour vous de plus de conséquence ? Un oncle riche et vieux , dont votre sort ...
Page 28
... donc ? Mondor . MONDOR . DAMIS . Chercher un maître . Et pourquoi tout à coup suis - je indigne de l'être ? MONDOR . C'est que l'air est , monsieur , un fort sot aliment . DAMIS . Qui te veut nourrir d'air ? Es - 28 LA MÉTROMANIE . '
... donc ? Mondor . MONDOR . DAMIS . Chercher un maître . Et pourquoi tout à coup suis - je indigne de l'être ? MONDOR . C'est que l'air est , monsieur , un fort sot aliment . DAMIS . Qui te veut nourrir d'air ? Es - 28 LA MÉTROMANIE . '
Page 34
... 'humeur . M. BALIVEAU . Que trop . M. FRANCALEU . Et tant soit peu la moue : M. BALIVEAU . Avec raison . M. FRANCALEU . Et puis le rôle n'est pas fort . M. BALIVEAU . Tel qu'il soit , j'y répugne . 34 LA METROMANIE .
... 'humeur . M. BALIVEAU . Que trop . M. FRANCALEU . Et tant soit peu la moue : M. BALIVEAU . Avec raison . M. FRANCALEU . Et puis le rôle n'est pas fort . M. BALIVEAU . Tel qu'il soit , j'y répugne . 34 LA METROMANIE .
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Common terms and phrases
ACTE Adieu affaire affreux aime Alcippe amant amour ARISTE assez avez BALIVEAU beau belle bonheur capitoul charmant Chloé chose CLÉON cœur comédie connoissez connoître crains CRISPIN crois croyez croyois DAMIS déja diable dire dites-vous DORANTE DORISE enfin époux esprit êtes étoit fille FLORISE FRANCALEU FRONTIN gens GÉRONTE goût grace Gresset homme hymen j'ai j'aime j'aurois J'avois j'en jaloux jamais jeune l'aime l'air l'amour l'auteur l'esprit l'humeur là-dessus laisse LÉANDRE LEANDRE FILS LEANDRE PÈRE LISETTE long-temps LUCILE m'en madame maître maîtresse malheur MARINE méchant mérite MÉTROMANIE mieux MONDOR Monsieur de l'Empyrée n'ai oncle ORGON Parbleu parler paroître pense pièce plaire plaisir plaisirs poëte pourroit qu'à qu'un Quimper raison rien rival s'il vous plaît sais SCÈNE IV SCÈNE VII secret sera seroit seul Songez sort soupçon sûr talents tendresse Théâtre vais Valère veut veux vieillard voilà vois voudrois voulez vous-même vrai yeux
Popular passages
Page 87 - Tout à l'heure : on s'assemble. Cependant va chercher ta maîtresse, et l'instruis Des dispositions où tu vois que je suis. Si j'eus une raison, maintenant j'en ai trente Qui doivent à jamais disgracier Dorante.
Page 181 - Selon vous; on perdroit son temps, la nouveauté, Et le plaisir de faire une infidélité. Laissez la bergerie, et, sans trop de franchise, Soyez de votre siècle, ainsi que Cidalise : Ayez-la, c'est d'abord ce que vous lui devez, Et vous l'estimerez après si vous pouvez : Au reste, affichez tout. Quelle erreur est la vôtre ! Ce n'est qu'en se vantant de l'une qu'on a l'autre, Et l'honneur d'enlever l'amant qu'une autre a pris A nos gens du bel air met souvent tout leur prix.
Page 64 - Et moi, de mon côté, je songe à votre affaire. Cependant soyez gai. Débutez seulement, Et vous serez bientôt de notre sentiment ; De vos talents, à peine aurons-nous les prémices, Que nous voulons vous voir un pilier de coulisses, Et, quoi que vous disiez, vers un plaisir si doux, De la force du charme, entraîné comme nous. J'ai vu ce charme, en France, opérer des miracles; Nos palais devenir des salles de spectacles ; Et nos marquis, chaussant à l'envi l'escarpin, Représenter Hector,...
Page 24 - On tenait table encore. On se serre pour nous. La joie, en circulant, me gagne ainsi qu'eux tous. Je la sens : j'entre en verve ; et le feu prend aux poudres. Il part de moi des traits, des éclairs et des foudres); J'ai le vol si rapide et si...
Page 27 - De vous celer, d'oser remettre au lendemain, Pour emprunter encore, avec un front d'airain. Ma probité répugne à ces façons de vivre. De ce monde aboyant cherchez qui vous délivre. Pour moi, plein désormais d'un juste repentir, J'abandonne le rôle, et ne veux plus mentir. Viennent baigneur, marchand, tailleur, hôte, aubergiste, Que leur cour vous talonne, et vous suive à la piste; Tirez-vous-en vous seul, et voyons une fois...
Page 173 - En m'éloignant d'un monde à qui je rends justice; Tout ce qu'on est forcé d'y voir et d'endurer Passe bien l'agrément qu'on peut y rencontrer. Trouver à chaque pas des gens insupportables, Des flatteurs, des valets, des plaisants détestables...
Page 72 - Chercher en vain quelqu'un d'humeur à t'admirer, Et trouver tout le monde actif à censurer ! Va, des auteurs sans nom, grossir la foule obscure, Égayer la satire, et servir de pâture A. je ne sais quel tas de brouillons affamés Dont les écrits mordants sur les quais sont semés!
Page 37 - C'est contre le torrent du siècle intéressé ; Mais, me regardât-on comme un père insensé, Je veux qu'à tous égards ma fille soit contente ; Que l'époux qu'elle aura soit selon son attente; Qu'elle n'écoute qu'elle et que son propre cœur, Sur un choix qui sera sa perte ou son bonheur; Qu'elle s'explique enfin là-dessus sans finesse.
Page 49 - L'illusion nous frappe autant que l'existence; Et, par le sentiment, suffisamment heureux, De l'amour seulement nous sommes amoureux. Ainsi le fantastique a droit sur notre hommage : Et nos feux, pour objet, ne veulent qu'une image.
Page 33 - J'en fis l'unique objet d'un soin tout paternel ; Mais rien ne rectifie un mauvais naturel. Pour achever son droit (n'est-ce pas une honte?), Il est depuis cinq ans, à Paris, de bon compte. J'arrive, je le trouve encore au premier pas, Endetté, vagabond, sans ce qu'on ne sait pas. Ne pourrais-je obtenir, pour peu qu'on me seconde, Un ordre qui le mette en lieu qui m'en réponde?