Histoire de la Révolution française, Volume 6Furne et cie, 1839 - France |
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accusés agens Anglais aristocrates armées assignats attaque Autrichiens avaient Barrère bespierre Billaud Billaud-Varennes Bourdon de l'Oise c'était Cambon Carrier Catherine Théot cent chefs citoyens Clerfayt club électoral coalisés Cobourg collègues Collot Collot-d'Herbois comité de salut comité de sûreté comités révolutionnaires commençait commission commission de vingt-un complices convention Couthon Danton décret demande députés devait disait dit-il division duc d'York Dueren Duhem enfin ennemis faisait fallait forces Fouquier-Tinville gouvernement guerre Henriot jacobins jour Jourdan Kléber l'armée l'assemblée l'échafaud l'Ourthe Landrecies Lebon Lecointre Legendre liberté Lindet long-temps maximum membres du comité ment Meuse mille hommes n'avait n'était ordonna parole passé patriotes peuple Pichegru place porter pouvait prairial propos rapport représentans république réquisitions reste réunir révolution Rhin Robert Lindet Robespierre Roër s'était Saint-Just salle salut public Sambre séance sections seule sociétés populaires Stofflet sûreté générale Tallien terreur thermidoriens tion tribunal révolutionnaire tribune tyrans Vadier venait Vendée Vendéens victoire voulait Wahal
Popular passages
Page 25 - Vous qui pleurez sur le cercueil d'un fils ou d'une épouse, êtes-vous consolés par celui qui vous dit qu'il ne reste plus d'eux qu'une vile poussière? Malheureux qui expirez sous les coups d'un assassin, votre dernier soupir est un appel à la justice éternelle!
Page 29 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 24 - Vous qui regrettez un ami vertueux, vous aimez à penser que la plus belle partie de lui-même a échappé au trépas ! Vous...
Page 24 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 193 - ... taire ; car que peut-on objecter à un homme qui a raison et qui sait mourir pour son pays ? « Je suis fait pour combattre le crime, non pour le gouverner. Le temps n'est point arrivé où les hommes de bien peuvent servir impunément la patrie ; les défenseurs de la liberté ne seront que des proscrits tant que la horde des fripons dominera.
Page 192 - Disons donc qu'il existe une conspiration contre la liberté publique ; qu'elle doit sa force à une coalition criminelle qui intrigue au sein même de la Convention; que cette coalition a des complices dans le Comité de sûreté générale et dans les bureaux de ce Comité qu'ils...
Page 190 - Qui suis-je , moi qu'on accuse ? Un esclave de la liberté , un martyr vivant de la République, la victime autant que l'ennemi du crime. Tous les fripons m'outragent ; les actions les plus indifférentes, les plus légitimes de la part des autres sont des crimes pour moi ; un homme est calomnié dès qu'il me connaît ; on pardonne à d'autres leurs forfaits ; on me fait un crime de mon zèle. Otez-moi ma conscience, je suis le plus malheureux de tous les hommes ; je ne jouis pas même des droits...
Page 193 - Comité de salut public lui-même, constituer l'unité du gouvernement sous l'autorité suprême de la Convention nationale, qui est le centre et le juge, et écraser ainsi toutes les factions du poids de l'autorité nationale, pour élever sur leurs ruines la puissance de la justice et de la liberté : tels sont les principes.
Page 27 - ... humaine comme une guerre de ruse ; le succès , comme la règle du juste et de l'injuste; la probité, comme une affaire de goût...
Page 192 - ... la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel est le remède à ce mal? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du comité de sûreté générale, épurer ce comité...