On voudrait ce qu'on n'a pas, on sent le poids de ce qu'on a ramassé par terre ! Je ne me console qu'en priant Dieu souvent et toujours, mais la langue directe me manque. Je le prie dans la langue mystérieuse et indirecte qui s'adresse partout et à... Bibliothèque universelle et revue suisse - Page 1591913Full view - About this book
| 1874 - 918 pages
...peu d'intérêt. On voudrait ce qu'on n'a pas, on sent le poids de ce qu'on a ramassé par terre ! Je ne me console qu'en priant Dieu souvent et toujours,...aveugle qui parle à quelqu'un qu'il ne voit pas... « Les cheveux blanchissants m'avertissent que mes tristesses sont sans consolation future dans ce... | |
| Armand comte de Pontmartin - France - 1875 - 378 pages
...j'aurais voulu le plus précieusement conserver telles que je les avais reçues... » — Et plus loin: « Je ne me console qu'en priant Dieu souvent et toujours...et indirecte qui s'adresse partout et à tout...» N'insistons pas. Là encore, les citations seraient trop nombreuses et nous mèneraient trop loin.... | |
| Edmond Henri Adolphe Scherer - Europe - 1878 - 398 pages
...lendemain, peu d'inté.êt; on voudrait ce qu'on n'a pas, on sent le poids de ce qu'on a ramassé par terre. Je ne me console qu'en priant Dieu souvent et toujours, mais la langue directe me manque : j« le prie dans la langue mystérieuse c1 indirecte qui s'adresse partout et à tout, mais qui ne... | |
| Gaston Louis Emmanuel Du Fresne marquis de Beaucourt, Paul Allard, Jean Guiraud - History - 1883 - 728 pages
...peu d'intérêt ; on -voudrait ce qu'on n'a pas, on sent le poids de ce qu'on a ramassé par terre. Je ne me console qu'en priant Dieu souvent et toujours,...mais qui ne regarde aucun point, comme un aveugle qui s'adresse à quelqu'un qu'il ne voit pas '. » La lettre qui se termine ainsi est la dernière que... | |
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