Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans: premier prince du sang, duc d'Orléans, de Chartres, de Nemours, de Montpensier et d'Etampes, comte de Beaujolais, de Vermandois et de Soissons, surnommé Egalité1796 - Conspiracies |
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... appellé de corres- pondance , furent le baron de Menou , le duc d'Aiguillon , le sanguinaire Barnave , La- clos , Charles et Theodore Lameth , le comte de Mirabeau , Alexandre de Beauharnois Barère de Vieuzac , Victor de Broglie Collot ...
... appellé de corres- pondance , furent le baron de Menou , le duc d'Aiguillon , le sanguinaire Barnave , La- clos , Charles et Theodore Lameth , le comte de Mirabeau , Alexandre de Beauharnois Barère de Vieuzac , Victor de Broglie Collot ...
Page 8
... appellé de pré- sentation et vérification , fut chargé de l'exa- men des candidats , de la vérification des pouvoirs de ceux qui étoient admis , de celle de la mission des couriers et des députés en- voyés à la société . Les personnages ...
... appellé de pré- sentation et vérification , fut chargé de l'exa- men des candidats , de la vérification des pouvoirs de ceux qui étoient admis , de celle de la mission des couriers et des députés en- voyés à la société . Les personnages ...
Page 170
... appellé la haute Cour nationale . Ce tribunal qui siégeoit à Orléans , étoit chargé de prononcer en der- nier ressort sur les décrets d'accusation qui émaneroient du corps législatif . On fit de cette institution l'abus le plus cruel ...
... appellé la haute Cour nationale . Ce tribunal qui siégeoit à Orléans , étoit chargé de prononcer en der- nier ressort sur les décrets d'accusation qui émaneroient du corps législatif . On fit de cette institution l'abus le plus cruel ...
Page 182
... appellé Canole , détourne le coup , saisit le misérable au collet , le force de tomber aux genoux du monarque , et de crier vive le roi . Un troisiéme présente à Louis XVI une bouteille , et lui demande de boire à la santé de la nation ...
... appellé Canole , détourne le coup , saisit le misérable au collet , le force de tomber aux genoux du monarque , et de crier vive le roi . Un troisiéme présente à Louis XVI une bouteille , et lui demande de boire à la santé de la nation ...
Page 199
... appellé une convention na- tionale qui prononceroit sur les mesures qu'elle croiroit devoir adopter pour assû- rer la souveraineté du peuple , et le règne de la liberté et de légalité . Ce furent les termes du décret . D'Orléans ne ...
... appellé une convention na- tionale qui prononceroit sur les mesures qu'elle croiroit devoir adopter pour assû- rer la souveraineté du peuple , et le règne de la liberté et de légalité . Ce furent les termes du décret . D'Orléans ne ...
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Common terms and phrases
10 août appelloit armée assassins assem assemblée nat assemblée nationale auroit avocat avoient avoit Bailly baron Biron Brissot brissotins bunal c'étoit Chabroud château Châtelet club cœur comité comte conjurés conspiration constitution constitutionnel convention nationale Coustard croyoit d'Or Danton décret députés dernier devoient devoit disoit donner duc d'Orléans duc de Chartres duc de Dorset duchesse Dumouriez égorger étoient étoit faction faisoit falloit famille royale fauxbourg Fayette fidélité forfaits François fût garde du corps garde nationale Gorsas hommes impartiaux j'ai jacobins jamais jour journée jugement l'assemblée nationale Laclos léans long-tems Louis XVI LOUIS-PHILIPPE-JOSEPH maire malheureux Marat Marseillois massacre membre du tri ment Messieurs mille ministres Mirabeau monarque mort n'avoient n'avoit nale nation officiers orléanistes personnes Pétion peuple portoit pouvoit prince princesse prison reine république reste révolution Robespierre s'étoient sang Santerre scélérats serment seroit seul Sillery soldats sorte tems tenoit tête tion tribunal tribune trône vérité Voidel vouloient vouloit
Popular passages
Page 43 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 40 - Je ferai davantage, et de concert avec la reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 36 - Messieurs, la gravité des circonstances où se trouve la France m'attire au milieu de vous. Le relâchement progressif de tous les liens...
Page 36 - ... particulières, les oppositions, les haines malheureuses qui sont la suite inévitable des longues dissensions, la situation critique des finances et les incertitudes sur la fortune publique, enfin, l'agitation générale des esprits, tout semble se réunir pour entretenir l'inquiétude des véritables amis de la prospérité et du bonheur du royaume.
Page 41 - ... de concorde, devenu si nécessaire, me fassent le sacrifice de tous les souvenirs qui les affligent, je les paierai par ma reconnaissance et mon affection. Ne professons tous, à compter de ce jour, ne professons tous, je vous en donne l'exemple, • qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt, qu'une seule volonté, l'attachement à la constitution nouvelle et le désir ardent de la paix, du bonheur et de la prospérité de la France.
Page 35 - Puzy présidait l'assemblée; il reçut le billet suivant :« Je préviens M. le président de l'assemblée nationale que je compte m'y rendre ce matin , vers midi. Je souhaite y être reçu sans cérémonie. Signé Louis.
Page 37 - Joignez-vous à moi pour les arrêter, et empêchons de tous nos efforts que des violences criminelles ne viennent souiller ces jours où le bonheur de la nation se prépare. Vous qui pouvez influer par tant de moyens sur la confiance publique, éclairez sur ses véritables intérêts...
Page 40 - Reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des Français...
Page 40 - Que partout on sache que le monarque et les représentants de la nation sont unis d'un même intérêt et d'un même vœu, afin que cette opinion, cette ferme croyance répandent dans les provinces un esprit de paix et de bonne volonté, et...
Page 43 - Je partage tous les sentiments du roi, et je m'unis de cœur et d'esprit à la démarche que son amour pour son peuple vient de lui dicter. Voici mon fils ; je l'entretiendrai sans cesse des vertus du meilleur des pères I Je lui apprendrai de bonne heure à respecter la liberté publique et à maintenir les lois dont j'espère qu'il sera le plus ferme appui.