Lucile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse. Son visage pâle était accompagné de longs cheveux noirs; elle attachait souvent au ciel ou promenait autour d'elle des regards pleins de tristesse ou de feu. Sa démarche, sa voix,... Revue des deux mondes - Page 58edited by - 1925Full view - About this book
| François-René vicomte de Chateaubriand - Authors, French - 1849 - 400 pages
...adoré. Je croissais auprès de ma sœur Lucile ; notre amitié était toute notre vie. Lucile. Lucile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse....avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Authors, French - 1849 - 786 pages
...adoré. Je croissais auprès de ma sœur Lucile ; notre amitié était toute notre vie. Lucilè. Lucile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse....démarche, sa voix, son sourire, sa physionomie avaient quoique chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions... | |
| Armand comte de Pontmartin - France - 1880 - 396 pages
...noirs ; elle attachait souvent au ciel ou promenait autour d'elle des regards pleins de tristesse' et de feu. Sa démarche, sa voix, son sourire, sa physionomie...avaient quelque chose de rêveur et de souffrant... Il lui prenait des accès de pensées noires que j'avais peine à dissiper. A dix-sept ans, elle déplorait... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1905 - 456 pages
...souffrances communes et des pressentiments douloureux aiguisèrent encore leur affection fraternelle.] Lucile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse....avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 372 pages
...laquelle le père do Montaigne éveillait son fils. («., livre III, p. 132-137.) Lucile et René. Lueile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse....avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 360 pages
...serait adoré. Je croissais auprès de ma sœur Lucile ; notre amitié était toute notre vie. Lucile était grande et d'une beauté remarquable, mais sérieuse....avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
| Pierre Gilbert Crabos - French literature - 1918 - 594 pages
...remarquable mais sérieuse, a dit d'elle ce frère qui fut son préféré et qu'elle appelait son défenseur. Son visage pâle était accompagné de longs cheveux...avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. » Et tout aussitôt le secret de cette souffrance : « Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand... | |
| Pierre Gilbert Crabos - French literature - 1918 - 594 pages
...son défenseur. Son visage pâle était accompagné de longs cheveux noirs ; elle attachait sou1 vent au ciel ou promenait autour d'elle des regards pleins...avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. » Et tout aussitôt le secret de cette souffrance : « Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand... | |
| François-René de Chateaubriand - 1921 - 462 pages
...Montaigne éveillait son fils. ENCORE LUCILE / Lucile était grande et d'une beauté remarquable, niais sérieuse. Son visage pâle était accompagné de...avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1923 - 654 pages
...détraquée et déjà atteinte de cette maladie morale qui devait l'emporter jeune encore.] Lucile. Lucile était grande et d'une beauté remarquable mais sérieuse....avaient quelque chose de rêveur et de souffrant. Lucile et moi nous nous étions inutiles. Quand nous parlions du monde, c'était de celui que nous... | |
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